Camille Gruhier
Caméscopes de pocheDes vidéos pour le Web
Ces petits caméscopes, qui se vantent d'allier la compacité d'un smartphone à la qualité d'image d'un caméscope haute définition, ne sont pas dénués d'intérêt. Mais ils souffrent de lacunes qui peuvent se révéler pénalisantes.
6 caméscopes de poche haute définition
Le choix du testeur
La qualité d’image, la qualité du son et la facilité d’utilisation ont primé dans la note globale.
Le protocole
Qualité vidéo. Un jury a évalué des films enregistrés sur pied en lumière naturelle (3 500 lux), en lumière artificielle (1 000 lux) et en faible luminosité (12 lux). Il a pris en compte la définition, le rendu des couleurs, l’exposition, le niveau de bruit (parasites sur l’image) et l’autofocus. Appareil en main, un expert a ensuite évalué le stabilisateur.
Qualité photo. Une prise de vue en lumière naturelle a été jugée en fonction de sa définition, du rendu des couleurs, de l’exposition et du bruit.
Qualité son. Des enregistrements sonores ont été réalisés avec le micro interne puis, si possible, avec un micro externe standard. On a noté la présence de bruits parasites (engendrés par le zoom, les boutons, etc.). Le filtre antivent a aussi été évalué, en plaçant les caméscopes dans un courant d’air.
Facilité d’emploi. Divers points ont été évalués : prise en main, encombrement, simplicité d’utilisation en modes enregistrement et lecture, ergonomie et qualité du viseur et de l’écran LCD, facilité de transfert des images vers un ordinateur, fonctions des logiciels fournis, accessibilité des supports vidéo/photo et de la batterie, etc.
Autonomie. La valeur fournie par le fabricant indique l’autonomie de la batterie en qualité maximale d’enregistrement.
Équipements. La note a été attribuée en fonction de la présence ou non d’une trentaine de caractéristiques.