GLOSSAIRE

Appareil photo numériqueGlossaire

De A comme "autofocus" à X comme "XD".

A

Autofocus

Pour effectuer la mise au point automatique, l'appareil photo procède à une évaluation du contraste dans l'image qu'il cherche à optimiser. La majorité des appareils photo en sont équipés. Certains appareils d'entrée de gamme à focale fixe se passent de ce dispositif en réalisant un réglage permanent sur « l'infini ».

B

Balance des blancs manuelle

La lumière ambiante est rarement d'un blanc pur. Sa teinte est exprimée par sa température de couleur exprimée en degrés Kelvin (K). Par exemple, un mur blanc éclairé par une lampe au tungstène (température de l'ordre de 3 000 K) apparaîtra jaunâtre. Le même mur photographié par un fort soleil sous un ciel très bleu (température de l'ordre de 9 000 K) pourra présenter une teinte bleuâtre. L'oeil humain est capable de compenser (en partie) ces différentes conditions d'éclairement. L'appareil photo numérique a besoin d'un blanc de référence qui lui permet de recalculer toutes les autres couleurs. Ils sont, pour cela, tous équipés d'une balance automatique des blancs. Cependant, quand la scène est, par exemple, éclairée par plusieurs sources - lumière du jour et lumière artificielle -, la balance des blancs ne permet pas toujours d'obtenir un résultat satisfaisant et il peut être préférable de la réaliser manuellement.

Bruit

En numérique, on remplace l'idée de la « granulosité » du film par le « bruit numérique » de l'image. Le bruit numérique est un bruit de fond introduit dans l'image par l'appareil (par le capteur CCD et l'électronique associée). Le bruit sur une image se traduit par une mauvaise interprétation des niveaux de luminosité. L'appareil, au lieu de « traduire » fidèlement les niveaux de luminosité du sujet photographié, introduit d'autres niveaux. Plus ces niveaux sont nombreux, plus l'image est dite « bruitée ». Les appareils procèdent à un traitement numérique du signal afin d'essayer de réduire le bruit, mais c'est avec plus ou moins de succès et cela mène toujours à une perte de détails dans l'image. On note finalement que le bruit peut aussi apparaître dans les zones plus sombres d'une photo, même si le reste de la scène apparaît correctement exposé.

C

Carte mémoire

Il existe plusieurs formats de carte mémoire sur le marché. Certains appareils photo offrent la possibilité d'utiliser plus d'un type de carte mémoire (un ou plusieurs emplacements de carte mémoire étant intégrés dans l'appareil).

Les principaux formats de carte mémoire disponibles actuellement sont les suivants :

- Secure Digital (SD) : favorisé par un grand nombre de marques, c'est le format le plus répandu actuellement. Cette carte est très compacte,

- Secure Digital Haute Capacité (SDHC) : de mêmes dimensions que les cartes SD, les cartes SDHC sont une évolution du standard SD et proposées en plus hautes capacités. Les appareils photo compatibles SDHC peuvent aussi utiliser une carte SD, mais le SDHC peut être intéressant notamment pour une utilisation forte du mode vidéo, très consommateur en mémoire. Mais attention ! Avant d'acheter une carte SDHC, vérifiez la compatibilité avec l'appareil photo (certains APN n'acceptant que le format SD et non pas le SDHC),

- CompactFlash type I (CF ou CF I) : on la trouve généralement sur des reflex ou des bridges puisque, contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, cette carte mémoire est la plus encombrante,

- CompactFlash type II (CF II) : aussi connue sous le nom de « Microdrive » ou « Magicstor » suivant les fabricants, cette carte présente la particularité d'être équipée d'un mini-disque dur (les autres cartes sont équipées d'une mémoire flash). Si elle est plus fragile qu'une mémoire flash, elle présente l'avantage d'offrir une importante capacité de stockage qui peut s'avérer précieuse pour les appareils multi-mégapixels (surtout les reflex et certains bridges). On la trouve notamment sur certains appareils des marques Nikon, Pentax, Samsung, Sigma et Casio. Son encombrement est sensiblement identique à celui d'une CompactFlash de type I,

- xD-Picture Card (xD) : favorisée par Olympus et Fujifilm (qui ont développé ce format), cette carte peut être aussi utilisée, à l'aide d'un adaptateur, à la place d'une carte CompactFlash type I,

- Memory Stick (MS)/MS Pro/MS Duo/MS Duo Pro : favorisé par Sony (qui a développé ce format), le MS et son autre version le MS Pro sont de même dimension, mais la version Pro est plus rapide. Le Memory Stick Duo est plus compact que le Memory Stick classique, il existe aussi en version Pro,

- MultiMediaCard (MMC) : une alternative (moins chère, mais le taux de transfert est plus lent) aux cartes SD,

- SmartMedia (SM) : ce format n'est plus utilisé sur les nouveaux appareils photo numériques. Sa capacité maximale est limitée à 128 Mo, et la carte n'embarquant pas de contrôleur, l'appareil lui-même doit l'intégrer. Peu intéressant.

Chargeur externe

Bien évidemment, si l'appareil photo est vendu avec une batterie (ou des accus), un chargeur est toujours fourni. Mais la recharge de la batterie hors caméra n'est possible que s'il s'agit d'un chargeur « externe ». Dans ce cas, le chargeur intègre un emplacement pour recevoir la batterie, il permet de continuer à photographier avec une éventuelle seconde batterie pendant que la première se recharge. Pour les autres types, la batterie est chargée directement dans l'appareil photo ce qui l'immobilise et ne permet donc pas de continuer les prises de vues.

Compact Flash

CompactFlash type I (CF ou CF I) : On la trouve généralement sur des reflex ou des bridge puisque que, contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, cette carte mémoire est la plus encombrante.

CompactFlash type II (CF II) : Aussi connu sous le nom de « Microdrive » ou « Magicstor » suivant les fabricants, cette carte présente la particularité d'être équipée d'un mini-disque dur (les autres cartes sont équipées d'une mémoire flash). Si elle est plus fragile qu'une mémoire flash, elle présente l'avantage d'offrir une importante capacité de stockage qui peut s'avérer précieuse pour les appareils multi-mégapixels (surtout les reflex et certains bridge). On la trouve notamment sur certains appareils des marques Nikon, Pentax, Samsung, Sigma et Casio. Son encombrement est sensiblement identique à celui d'une Compact flash de type I.

D

Distorsion

C'est encore un défaut inhérent à la partie optique et qui s'observe surtout lors de l'utilisation de courtes focales. Le plus souvent, les lignes droites se trouvent soit incurvées vers l'extérieur (dans ce cas, on parle d'une distorsion en barillet) soit incurvées vers l'intérieur (distorsion en coussinet), mais il peut y avoir une combinaison des deux (distorsion en barillet au centre et en coussinet aux bords).

E

Écran LCD résolution (Kpix)

Il sert à cadrer la scène (sauf sur certains appareils reflex, où il faut utiliser le viseur optique) et à visionner les images enregistrées. Comme l'écran est souvent de petite taille, une bonne définition est importante pour améliorer sa lisibilité. En cas de fort ensoleillement, l'écran est souvent rendu inutilisable (le contraste devenant trop faible). Dans ce cas, l'utilisation du viseur est nécessaire. Nous avons noté une amélioration progressive de la qualité des écrans : tant mieux, puisque la suppression des viseurs tend à se généraliser.

Tout appareil photo numérique dispose d'un écran, généralement un écran LCD (ou ACL, écran à cristaux liquides), mais certains modèles chez Kodak sont munis d'un écran OLED, à diode électroluminescente organique, ce qui autorise des dimensions d'écran plus grandes, avec un grand angle de vision. Cette technologie est aussi censée offrir une image lumineuse aux couleurs plus fidèles... selon le fabricant. La diagonale et la résolution donnent un aperçu des dimensions et de la résolution potentielle de l'écran LCD.

F

Formats d'image

Tout appareil photo enregistre les images au format JPEG. Certains proposent aussi un format propriétaire dit « RAW » qui contient les données numériques brutes provenant du capteur. On peut considérer un fichier RAW comme une sorte de « négatif » qui doit ensuite être « développé » par l'utilisateur sur ordinateur à l'aide du logiciel fourni avec l'appareil. Ce logiciel permet de visualiser le résultat des réglages (contraste, couleurs, bruit, netteté, etc.) qui auraient été appliqués par l'appareil photo lui-même, ou bien de les modifier pour améliorer le rendu avant de sauvegarder le fichier dans un format d'image standard (JPEG, TIFF...). Si le RAW permet une maitrise totale des réglages importants, ces fichiers sont par contre très volumineux par rapport aux JPEG - détail à prendre en compte lors de l'achat d'une carte mémoire. Exemple : avec le Canon G9, un appareil photo à 12 Mpix, la même image pèse environ 5,5 Mo en JPEG et 17 Mo en RAW.

A noter, certains appareils photo peuvent enregistrer en format RAW et JPEG simultanément, ce qui permet d'avoir un fichier JPEG immédiatement exploitable et de garder les données brutes en format RAW qui peuvent être retravaillées plus tard sur l'ordinateur.

G

Grossissement (zoom)

C'est le rapport entre la plus grande et la plus petite focale. Par exemple, un zoom offrant des focales allant de 30 à 90 mm a un grossissement = à 3 (90/30).

L

Luminosité

Lorsque la lumière est réduite, les appareils doivent s'adapter au faible niveau de luminosité pour réaliser des photos correctement exposées et sans trop de bruit de fond. Ils essaient de compenser le manque de lumière par l'utilisation d'une grande ouverture et d'une vitesse réduite. C'est-à-dire que le diaphragme s'ouvre afin de laisser rentrer le maximum de lumière et que le temps de pose doit aussi augmenter pour retrouver une exposition correcte du sujet. Si le temps de pose est trop long, le moindre mouvement du sujet ou des mains de l'utilisateur va garantir des images floues (que même le meilleur des stabilisateurs d'image ne peut corriger).

Afin de pouvoir réduire le temps de pose, l'appareil peut jouer sur un autre paramètre : la sensibilité ISO. Ce terme vient du monde de la photo argentique, où on pouvait utiliser un film à haute ISO pour prendre des photos dans les conditions de lumière réduite et avec un temps de pose raisonnable. Revers de la médaille, plus on montait en valeur ISO, plus les photos avaient un aspect granulaire. L'analogie est valable pour les appareils photo numériques, il suffit de savoir que la valeur ISO correspond au niveau d'amplification de la lumière et que l'utilisation d'une valeur ISO plus élevée sera accompagnée par un accroissement du niveau de bruit numérique (plus on amplifie le signal, plus on amplifie le bruit).

M

Mémoire interne (Mo)

La plupart des appareils récents (sauf Canon, et hors reflex) embarquent une mémoire flash intégrée, mais elle est souvent de petite capacité et ne peut remplacer l'achat d'une véritable carte mémoire flash.

Memory Stick / Memory Stick Pro

Favorisé par Sony (qui a développé ce format), le MS et son autre version le MS Pro sont de même dimension, mais la version Pro est plus rapide. Le Memory Stick Duo est plus compact que le Memory Stick classique, il existe aussi en version Pro.

Mise au point manuelle

Lorsque le sujet manque de contraste ou que la lumière environnante est faible, l'appareil peut avoir des difficultés à réaliser une bonne mise au point en mode automatique. Il est alors intéressant de pouvoir réaliser cette mise au point manuellement si cette option est disponible.

O

Ouverture et vitesse manuelles

Cela permet à l'utilisateur de contrôler manuellement à la fois l'ouverture et la vitesse, ce qui peut être utile dès lors que l'on souhaite obtenir une exposition « particulière » du sujet.

Ouverture max.

L'ouverture désigne le rapport entre la distance focale et le diamètre de la pupille de l'objectif (plus le nombre donné est petit, plus l'ouverture est grande). Les valeurs d'ouverture sont normalisées et sont généralement données sous la forme « f 2 » (ouverture de 2). D'une valeur normalisée de l'ouverture à l'autre, on multiplie ou on divise par deux la quantité de lumière reçue. Outre le contrôle de l'exposition, l'ouverture permet de maîtriser la profondeur de champ. Tous les objectifs n'offrent pas les mêmes possibilités d'ouverture : cette remarque est plus particulièrement vraie lors de l'utilisation des grandes focales.

P

PictBridge

Des fabricants se sont regroupés pour définir un protocole permettant le transfert direct d'informations d'un appareil photo numérique (ou tout autre système de capture d'image : téléphone cellulaire, scanner...) vers une imprimante. Ce protocole permet d'obtenir une compatibilité entre appareils de marques différentes. Les appareils de notre sélection de type « Pictbridge » peuvent donc être connectés à une imprimante (acceptant aussi ce protocole), la connectique de sortie étant généralement de type USB.

Priorité ouverture/priorité vitesse

Le mode « priorité ouverture » permet à l'utilisateur de choisir l'ouverture du diaphragme, tout en laissant l'appareil régler automatiquement la vitesse d'exposition pour assurer une exposition correcte du sujet. Cela permet de pouvoir gérer la profondeur de champ : plus l'ouverture est petite, plus la profondeur de champ est importante. On notera néanmoins qu'avec les appareils photo numériques, compte tenu de la faible distance séparant l'objectif du capteur (en fait, une très faible distance focale), il est souvent difficile d'obtenir une faible profondeur de champ, et ce même avec les plus grandes ouvertures.

Le mode « priorité vitesse » permet à l'utilisateur de régler manuellement la vitesse de l'obturateur, tout en laissant l'appareil régler automatiquement l'ouverture pour assurer une exposition correcte du sujet. Ce mode peut être intéressant, notamment si l'on souhaite photographier un sujet en mouvement (on choisira alors une vitesse élevée) ou si l'on veut créer un « flou artistique » (on choisira une faible vitesse).

R

Résolution capteur (Mpix)

Les prix de ces appareils baissant continuellement, les fabricants les équipent de capteurs contenant toujours plus de photosites. Le nombre de mégapixels reste un des principaux arguments commerciaux, que les vendeurs associent souvent (et un peu trop vite) à la qualité de l'image. Si un capteur performant est effectivement nécessaire pour obtenir de bons clichés, la qualité des contrôles de l'exposition et de la mise au point et surtout la qualité optique des zooms ont aussi un rôle très important à jouer dans la qualité finale. On notera d'ailleurs que certains appareils avec des capteurs de « seulement » 5 Mpix obtiennent de meilleurs résultats que certains modèles équipés de capteurs de 7 Mpix et plus.

S

Secure Digital

Favorisé par un grand nombre de marques, c'est le format le plus répandu actuellement. Cette carte est très compacte.

Sortie TV

Afin de pouvoir visualiser les photos ou les courtes séquences de film, la plupart des appareils sont maintenant équipés d'une sortie audio/vidéo. Il s'agit le plus souvent d'une sortie de type minijack 3,5 mm (offrant souvent une sortie audio) ou d'une connectique propre au fabricant et le câble approprié est souvent fourni. Cette sortie vidéo est analogique et en PAL (dont la définition ne peut dépasser 720 pixels par 576 lignes), mais certains appareils récents proposent aussi une sortie HDMI (définition maxi 1 920 pixels par 1 080 lignes). Contrairement à la sortie PAL, la sortie HDMI est numérique et en haute définition, ce qui convient mieux pour brancher sur un téléviseur HD. Néanmoins, si une sortie HDMI est présent (actuellement, il s'agit d'une prise mini-HDMI), le câble approprié n'est pas fourni et il est cher : comptez 40 euros à l'achat (câble mini-HDMI vers HDMI).

Stabilisateur d'image

Des modèles intègrent un système de stabilisation de l'image visant à limiter les effets de « bougé » dus aux tremblements de la main du photographe. Surtout utile pour les prises de vues aux longues focales, ce dispositif permet aussi de prendre une photo avec une vitesse d'obturation plus lente. L'élément qui corrige les tremblements est situé soit dans l'objectif (stabilisateur optique), soit dans le boîtier (stabilisation mécanique du capteur).

T

Taille de l'Ecran LCD

Il sert à cadrer la scène (sauf sur certains appareils reflex, où il faut utiliser le viseur optique) et à visionner les images enregistrées. Comme l'écran est souvent de petite taille, une bonne définition est importante pour améliorer sa lisibilité. En cas de fort ensoleillement, l'écran est souvent rendu inutilisable (le contraste devenant trop faible) ; dans ce cas, l'utilisation du viseur est nécessaire. Nous avons noté une amélioration progressive de la qualité des écrans : tant mieux, puisque la suppression des viseurs tend à se généraliser.

Tout appareil photo numérique dispose d'un écran, généralement un écran LCD (ou ACL, écran à cristaux liquides), mais certains modèles chez Kodak sont munis d'un écran OLED, à diode électroluminescente organique - ce qui autorise des dimensions d'écran plus grandes, avec un grand angle de vision. Cette technologie est aussi censée offrir une image lumineuse aux couleurs plus fidèles - selon le fabricant. La diagonale et la résolution donnent un aperçu des dimensions et de la résolution potentielle de l'écran LCD. L'écran orientable est pratique pour prendre des photos dans des positions inhabituelles (par exemple bras tendus au-dessus de la tête pour photographier par-dessus une foule).

V

Vignetage

C'est un défaut inhérent à la partie optique, qui s'observe surtout lors de l'utilisation de courtes focales. Les éléments se trouvant le plus à l'extérieur de la prise de vue voient leurs rayons réfléchis de façon plus importante. Conséquence, la luminosité est moins importante sur les côtés qu'au centre et se traduit, bien entendu, par des clichés peu homogènes dont les coins peuvent être noircis.

Viseur

Le viseur, qui peut servir à la place de l'écran pour cadrer la scène, est généralement de type optique, mais sur certains appareils (les compacts dits « bridge »), il est remplacé par un viseur électronique. Avec un viseur électronique, l'image vue dans le viseur est plus représentative de l'image enregistrée qu'avec un appareil avec viseur optique (à l'exception des appareils reflex, bien sûr), surtout en prise de vue rapprochée - un viseur optique trop éloigné de l'axe de l'objectif introduit des erreurs de parallaxe. Un viseur électronique est lié par fil électrique au capteur, et il n'y a pas d'erreur de parallaxe, mais pour l'instant les viseurs électroniques qui équipent la plupart des appareils sont d'une qualité insuffisante (souvent trop petit). Présentant un manque de définition, ils permettent difficilement de juger de la qualité de la mise au point ou du rendu des couleurs ; ils peuvent de plus s'avérer peu pratiques d'utilisation sous un éclairage très puissant. On notera enfin que de plus en plus d'appareils compacts sont dépourvus d'un viseur ; dans ce cas, la qualité de l'écran LCD devient prépondérante.

X

XD

xD-Picture Card (xD). Favorisé par Olympus et Fujifilm (qui ont développé ce format), cette carte peut être aussi utilisée, à l'aide d'un adaptateur, à la place d'une carte CompactFlash type I.

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