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Guillaume Despierre
Choisir la couleur, sélectionner le moteur, la finition et les options depuis son canapé. Tentant, non ? Oui, mais…
Même si quelques nuages ont fait leur apparition ces derniers mois, le succès insolent de Tesla fait rêver nombre de constructeurs. Cependant, la vente de véhicules électriques (ou thermiques) directement en ligne reste un serpent de mer dans la plupart des pays européens – plus encore en France, où leur commercialisation s’effectue en grande partie grâce aux réseaux de marques. Les choses sont toutefois en train de bouger, sans aucun doute à la suite de la pandémie de Covid-19.
Les constructeurs automobiles voient dans la vente en ligne un moyen de réaliser de substantielles économies sur le circuit de distribution. Par contre, l’intérêt pour l’acheteur est loin d’être évident. Certes, les sites Internet de chacun des fabricants proposent des expériences immersives particulièrement abouties. Vous pouvez faire le tour du véhicule grâce à des vues 3D, extérieures et intérieures, qui vous donneraient presque l’illusion du contact réel. Les sites les plus sophistiqués, comme celui d’Audi, vous offrent même la possibilité d’activer différentes fonctions de la voiture. D’une grande souplesse d’utilisation, ces configurateurs permettent aussi de définir précisément le véhicule désiré. Toutefois, il leur manquera toujours le contact physique : toucher les matériaux, jauger la taille du coffre,
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