ENQUÊTE

Trains de nuit10 choses à savoir avant d’embarquer

BD

par Benjamin Douriez

Moins polluant que la voiture ou l’avion, le train de nuit suscite un regain d’intérêt. Confort, services à bord, bagages, retards… Petit guide à destination des débutants.

Voyager loin sans plomber son bilan carbone, c’est possible avec le train de nuit. En France (ou à partir de la France), une dizaine de lignes sont en service : 8 Intercités de nuit de la SNCF entre Paris et le sud de l’Hexagone, et 2 lignes Nightjet de la compagnie autrichienne OBB reliant Paris à l’Allemagne et l’Autriche. Un train de nuit émet 3,5 à 9 fois moins de gaz à effet de serre par kilomètre parcouru qu’une voiture, et 10 à 28 fois moins qu’un avion, selon un rapport (1) du réseau européen de défenseurs du train de nuit Back-on-Track.

Pour ne rien gâcher, ce mode de transport permet d’économiser une nuit d’hébergement. Et évite de perdre son temps en journée dans le trajet, ce qui fait gagner une journée sur place ! Mais s’il connaît un regain d’intérêt pour ses vertus écologiques, il suscite aussi la prudence, voire la méfiance, des néophytes. Que Choisir a recueilli les conseils d’habitués et des compagnies, et testé le train de nuit à l’occasion d’un aller-retour entre Paris et Bayonne.

1 - Dort-on bien à bord ?

Nos premières impressions ? On peut dormir profondément, à défaut de dormir d’une traite ! Bien sûr, le ressenti diffère d’un voyageur à l’autre. Même en voyageant en couchette, il faut compter avec le bruit du

Article réservé aux abonnés

Abonnez-vous et accédez immédiatement à tout le contenu du site QueChoisir.org

Découvrir nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

BD

Benjamin Douriez

Soutenez-nous, rejoignez-nous

La force d'une association tient à ses adhérents ! Aujourd'hui plus que jamais, nous comptons sur votre soutien. Nous soutenir

image nous soutenir

Newsletter

Recevez gratuitement notre newsletter hebdomadaire ! Actus, tests, enquêtes réalisés par des experts. En savoir plus

image newsletter