Téléphonie mobileConcurrence virtuelle
Même si on peut y trouver son bonheur, les nouveaux opérateurs de téléphonie ne cassent pas autant les prix qu'on aurait pu l'espérer. Une situation dont Orange, SFR et Bouygues Telecom sont en partie responsables.
Fini le temps où il fallait obligatoirement passer par l'un des trois grands opérateurs français pour souscrire un abonnement à un service de téléphonie mobile. Depuis que l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a contraint Orange, SFR et Bouygues Telecom à ouvrir leur réseau à des concurrents, il y a deux ans, une ribambelle de nouveaux opérateurs a fleuri. Des spécialistes des télécommunications, bien sûr (Télé 2, Neuf, Debitel...), mais également des médias (TF1, M6, NRJ...), des vendeurs de biens culturels (Fnac, Virgin) et des groupes de la grande distribution (Auchan, Carrefour) : tout le monde s'y est mis. Au total, ce sont plus d'une quinzaine d'opérateurs dits « virtuels » (ou MVNO pour Mobile virtual network operator) qui ont vu le jour, avec de nouvelles offres et des propositions commerciales plus alléchantes les unes que les autres. Ici la minute « la moins chère du marché », là un téléphone de dernière génération gratuit, là encore des appels illimités, des SMS gratuits ou des téléchargements offerts.
MVNO
Les vrais et les faux
Parmi les opérateurs virtuels,
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