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Arnaud de Blauwe
Parmi les litiges qui opposent voyagistes et clients, la surréservation d'hôtel se porte bien, surtout en Tunisie.
Ils s'appellent Steve Perinard, Emmanuelle Canitrot, Nathalie Bier ou Valérie Vankelst. Interrogés par Que Choisir, ces consommateurs de Villefranche-sur-Saône (69), Lyon, Paris ou Doullens (80) ont eu le même souci : celui d'avoir été confronté à la surréservation (ou surbooking) d'hôtel lors d'un séjour en Tunisie. Une violation du contrat signé avec le voyagiste, qui conduit le client à se retrouver dans un autre établissement que celui initialement prévu. Et pour ceux qui accepteraient ce changement, encore doivent-ils être relogés dans un hôtel équivalent ou de catégorie supérieure.
«Pour ma tante et moi, j'avais acheté sur Internet auprès de Promovacances (groupe Karavel, récemment racheté par Opodo) un séjour au Coralia Palm Beach de Djerba avec option thalasso pour la période du 19 au 26 juin au prix de 1300 euros, raconte Nathalie Bier, gestionnaire de patrimoine à Paris. Lorsque nous sommes arrivées en Tunisie, au petit matin, la représentante de 1001 soleils, la société productrice du voyage, nous a annoncé que nous n'allions plus au Coralia mais au Riu Méhari.» Parvenus à cet endroit, «où il n'y avait pas de thalasso», la trentaine de voyageurs concernés par cette modification refuse de rester. Parmi eux, Valérie Vankelst, de Doullens, qui était passée par Go voyages :
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Arnaud de Blauwe
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