SurfacturationsAvec la 3G, c'est risqué
Même si les mesures mises en place par les opérateurs pour limiter les dégâts ont porté leurs fruits, des litiges liés à la surfacturation des connexions 3G perdurent.
C'était il y a huit mois. La presse faisait ses choux gras des factures exorbitantes reçues par plusieurs abonnés à l'Internet mobile d'Orange. 39 000 euros par ici, 45 000 euros par là, et plus de 150 000 euros pour un médecin de Fontainebleau, record battu ! Ayant tous souscrit un forfait illimité avec une clé 3G, ils pensaient pouvoir se connecter à Internet autant qu'ils le désiraient. Erreur... Si l'offre était bien illimitée en temps, elle était plafonnée à 1 Go de données échangées. Autrement dit, ils pouvaient rester connectés aussi longtemps qu'ils le souhaitaient, à condition de ne pas trop surfer ! Sous la pression des médias et des associations de consommateurs, Orange a fini par annuler les factures litigieuses et faire disparaître de sa gamme le forfait en cause. Mais tous les problèmes ne sont pas pour autant résolus.
Les opérateurs contraints de réagir
La 3G, c'est le succès du moment. Cette technologie qui permet de se connecter au Web ou de consulter ses e-mails dans la rue, sur la plage ou dans les transports en commun, depuis son téléphone portable ou sur un ordinateur muni d'une clé 3G, est à l'origine de nombreux litiges de facturation. Les opérateurs ont bien pris des mesures pour en limiter le nombre, en abandonnant notamment les formules
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