ENQUÊTE

SMS et Internet PlusCliquez, vous êtes abonnés

De plus en plus d’éditeurs de contenus multimédias misent sur des systèmes de micropaiement par abonnement pour vendre jeux et sonneries. Une solution pratique, mais génératrice de litiges.

Dans leurs publicités, les éditeurs insistent sur la sonnerie ou le jeu « offert » (à gauche). Ils sont beaucoup plus discrets sur le prix et la demande d’autorisation aux parents pour les mineurs (à droite).

En jetant un coup d’œil sur la facture de son opérateur de téléphonie mobile, Élodie a fait une étrange découverte : des SMS surtaxés, facturés 3 € chacun, apparaissent à intervalles réguliers, à raison d’un par semaine. Elle est pourtant certaine de ne jamais les avoir envoyés. Plus étrange encore, en regardant dans la mémoire de son téléphone Élodie retrouve bien les SMS incriminés… stockés parmi les messages réceptionnés. C’est en appelant le service clients de son opéra­teur qu’elle a compris qu’elle avait été abonnée contre son gré à un service de téléchargement de contenus multimédias (sonneries, jeux, etc.).

Les éditeurs en raffolent

SMS +, tout le monde connaît. Cela fait plus de dix ans que ce système de micropaiement mis en place par les opérateurs et les éditeurs de contenus permet, d’un simple SMS, de voter pour son candidat de téléréalité préféré, de poser une question en direct dans une émission de télé ou de télécharger une sonnerie de portable. Un code à envoyer vers un

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