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Roselyne Poznanski
En fin de carrière professionnelle, certains rongent leur frein en attendant la retraite… D’autres prennent les choses en main pour partir au plus tôt et au mieux.
Si l’on souhaite partir à l’âge légal sans avoir acquis le nombre de trimestres nécessaires à l’obtention du fameux taux plein, sauf à faire valoir ses pensions avec une décote et des abattements pénalisants, il est possible d’effectuer des « versements pour la retraite ».
Une option à étudier en amont
Cette opération, plus connue sous le terme de « rachat de trimestres » est soumise à l’accord des caisses de retraite. Elle est coûteuse et, selon Bruno Renardier, directeur de Novelvy Retraite, elle doit s’appréhender « parce que le conjoint a déjà fait valoir ses droits, que le travail est devenu pénible ou parce qu’il ne présente plus aucune perspective d’évolution ». En d’autres termes, la question du rachat n’a pas lieu d’être avant 55 ans « faute de visibilité sur les conditions qui pourraient être exigées au moment où l’on fera valoir ses droits ». Elle se pose en revanche pour les personnes nées en 1954 ou en 1955 par exemple et qui veulent profiter de leur retraite en 2016 (à 61 ans et 7 mois) ou en 2017 (à 62 ans) respectivement.
En quoi consiste le rachat ? À payer a posteriori pour des trimestres (12 maximum) d’assurance vieillesse qui manquent à l’appel. Du fait d’un accord en vigueur
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Roselyne Poznanski
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