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Anne-Sophie Stamane
Si les ophtalmos se font de plus en plus rares, d’autres façons d’obtenir une prescription de verres correcteurs existent. Tour d’horizon des solutions plus ou moins fiables.
Même s’il s’améliore grâce à la coopération avec les orthoptistes, l’accès aux professionnels de la vision – en l’occurrence, aux ophtalmologistes – demeure difficile, surtout dans des régions comme les Pays de la Loire ou en Auvergne-Rhône-Alpes. Il faut parfois patienter des mois avant d’obtenir une consultation avec un expert des yeux. Et encore ! Il arrive que le rendez-vous ne soit tout simplement pas accordé ; cela concerne plus d’un quart des cas, révèle l’enquête que nous avons menée au printemps dernier avec les bénévoles des associations locales de l’UFC-Que Choisir.
En attendant l’embellie prévue à partir de 2025, avec la fin des départs massifs en retraite, nous vous livrons quelques clés, valables seulement pour les troubles de la réfraction (myopie, presbytie, astigmatisme, hypermétropie), de loin les plus fréquents. L’apparition de symptômes comme un strabisme soudain ou des taches noires, ou la survenue d’un traumatisme à l’œil nécessitent l’intervention impérative d’un ophtalmo.
Les bénévoles des associations locales de l’UFC-Que Choisir ont mené l’enquête. Ils ont contacté par téléphone, du 18 mars au 1er avril 2023, 761 ophtalmologistes pour une consultation de contrôle en tant que nouveau patient. Résultat ? Plus
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Isabelle Bourcier
Observatoire de la consommation
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