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Virginie Bourgeois
Autour de 1,3 million d'étudiants doivent trouver un logement pour septembre. Une demande supérieure à l'offre, qui engendre des abus. Comment éviter les pièges et faire respecter ses droits ?
A l'heure actuelle, un peu moins de la moitié des étudiants vivent chez leurs parents, l'autre moitié devant se débrouiller pour trouver à se loger. Ces derniers n'ont d'ailleurs qu'un choix limité. Si la solution la plus économique est l'hébergement dans une cité universitaire publique, celle-ci reste pratiquement inaccessible. Les centres régionaux des oeuvres universitaires (Crous) ne peuvent héberger que 150 000 étudiants. Des chambres loin d'être assez nombreuses et souvent dans un état «calamiteux» selon Luc Ferry, le précédent ministre de l'Éducation nationale. Un constat qu'il faisait en mars dernier lors de l'annonce d'un plan de rénovation et de construction de nouveaux logements. Mais, quelle que soit l'issue des engagements pris par les pouvoirs publics, il ne faut plus espérer obtenir une place dans ce type de logement. Pour la rentrée prochaine, les demandes devaient être déposées avant le mois d'avril.
Reste alors la solution du secteur privé, qui offre deux options. Première d'entre elles, habiter une résidence d'étudiants souvent située à proximité d'un campus universitaire. Les possibilités sont variées : hébergement meublé ou non, gamme de services communs plus ou moins
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