Frédérique Lehmann
Investir dans un cheval de course
Devenir propriétaire d’un cheval de course n’est plus réservé à une élite. Aux côtés des grandes écuries de renom international, plus de huit propriétaires sur dix ne possèdent qu’un seul cheval à l’entraînement. Mais qu’ils soient artisans, commerçants, avocats ou médecins, tous vibrent de la même passion, qui peut parfois leur rapporter de l’argent.
En 2012, 4 600 propriétaires de chevaux de course se sont partagé 266 millions d’euros d’encouragements (prix, allocations et primes). Mais l’aspect lucratif doit rester secondaire. « Le retour sur investissement de ce loisir est extrêmement variable. Le cheval est un être vivant et il y a beaucoup d’impondérables qui entrent en jeu. En investissant dans l’acquisition d’un cheval de course, on achète à chaque fois de l’espoir, avec les bonnes mais aussi les moins bonnes surprises qui peuvent aller avec. C’est une passion avant tout. On s’investit plus qu’on investit », insiste Guy de Fontaines, responsable développement et promotion propriétaires chez France Galop, l’association organisatrice des événements hippiques en France.
À part entière ou par parts
Différents moyens existent pour acquérir un cheval, comme l’achat en ventes aux enchères publiques (si besoin, par l’intermédiaire d’un courtier agréé ou d’un entraîneur) ou l’acquisition à l’issue d’une course dite « à réclamer »,
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