
Frédérique Lehmann
Tableaux, dessins, estampes, sculptures… Investir dans l’art n’est plus réservé seulement à une clientèle fortunée. Le marché de l’art s’est démocratisé. Il est aujourd’hui possible d’y réaliser des plus-values intéressantes.
Effondrement des Bourses européennes, chute du rendement des assurances vie, baisse des prix dans l’immobilier... Bien que la France connaisse une crise sans précédent, selon le dernier Rapport annuel du Marché de l’Art d’Artprice, leader mondial de l’information sur le marché de l’art « l’art ne s’est jamais si bien vendu qu’en 2011 avec 11,57 milliards de dollars de produit de ventes annuel, soit 2 milliards de dollars de plus qu’en 2010, qui était jusqu’alors la meilleure performance de la décennie. » Pour preuve encore, au printemps dernier, l’une des quatre versions du fameux tableau « Le cri » du norvégien Edvard Munch a été adjugé chez Sotheby’s à New York 120 millions d’euros. Œuvre la plus chère jamais vendue aux enchères. Mais tout le monde n’a pas forcément des centaines de millions d’euros à placer pour acquérir de telles œuvres d’art.
Ce qui n’empêche pas pour autant, pour quelques milliers d’euros, de réaliser de belles opérations ! Alors, l’art est-il devenu une valeur refuge en ces temps de crise au même titre que l’or ? Possible, à condition toutefois de ne pas investir dans n’importe quel artiste et de connaître
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