ENQUÊTE

Grande distributionLes engagements à réduire la souffrance des poulets s’envolent-ils avec l’inflation ?

AP

par Axelle Playoust-Braure

Vingt poulets entassés par mètre carré, des oiseaux qui grossissent si vite qu’ils développent des boiteries, des malformations osseuses et des défaillances cardiaques… Face à l’un des plus sérieux problèmes de souffrance animale en élevage, et sous la pression de la société civile, la grande distribution française s’est engagée à faire évoluer son approvisionnement en viande de poulet d’ici 2026. Mais à l’approche de l’échéance, certaines enseignes semblent avoir trouvé une stratégie pour contourner leurs promesses : faire disparaître leur logo des barquettes de poulet premier prix. Face à des consommateurs attentifs au bien-être animal, les distributeurs sont attendus sur leur capacité à trouver des solutions pour honorer les engagements pris.

Ces dernières années, sous la pression des associations de protection animale, toutes les enseignes de la grande distribution française se sont engagées à améliorer les conditions d’élevage des poulets vendus sous leur marque. Concrètement, elles ont promis de s’approvisionner, d’ici 2026, uniquement auprès d’élevages respectant le cahier des charges European Chicken Commitment (ECC). Que change l’ECC pour les poulets ? Plus d’espace pour vivre (30 kg/m2 maximum, contre 42 kg/m2 couramment pratiqués en élevage

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