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Laurence Delain-David
Faire du neuf avec de l’ancien... C’est apparemment l’option choisie par nombre de particuliers : ils redécouvrent les charmes, un temps délaissés, du PEL (plan d’épargne logement), l’un des rares placements du moment à associer un rendement correct avec une garantie en capital, le tout sur une durée d’immobilisation de moyen terme.
Le PEL n’a pas connu un tel succès depuis dix ans. « Fin 2013, on comptait 700 000 plans ouverts (nets de fermetures), contre... 100 000 en 2012 », indique le dernier rapport de l’Observatoire de l’épargne réglementée, publié en juillet. Et sur les quatre premiers mois de l’année, le PEL a collecté à lui seul davantage que le livret A et le LDD réunis. Bloqué quatre ans et destiné au financement (quasi exclusif depuis la réforme de mars 2011) d’une résidence principale, le PEL n’est certes pas à proprement parler un outil de trésorerie. Mais, dans sa forme actuelle (sa refonte est régulièrement annoncée), il constitue une excellente source d’épargne de précaution garantie par l’État. Et ses atouts méritent d’être soupesés en complément d’autres livrets.
Accessible dès la naissance (à raison d’un PEL par personne dans la limite de 61 200 € de dépôts et sous réserve d’une mise annuelle minimale de 540 €), ce plan affiche une rémunération redevenue fort attractive pour un produit entièrement sécurisé. Actuellement de 2,5 %, voire de 3,50 % avec la
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Laurence Delain-David
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