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Roselyne Poznanski
Il n’est jamais trop tôt pour penser à se constituer une épargne dédiée au troisième ou au quatrième âge. pour choisir la bonne solution, point de hasard : capacité d’épargne et horizon de placement sont des critères déterminants.
« Avant 40 ans, se mettre à épargner pour un avenir très éloigné est compliqué. Il y a d’autres priorités à gérer, comme l’acquisition de la résidence principale, essentielle pour n’avoir plus aucune charge de loyer dans le futur. Pour autant, il faut déjà penser à une épargne de long terme et à un support dénué de contraintes », fait remarquer Gilles Étienne, directeur associé chez Cyrus conseil, tout en soulignant l’importance de l’assurance vie. Ce placement, au succès remarquable (plus de 1 600 milliards d’euros d’encours fin avril 2016), est en effet la première et bonne carte à jouer pour constituer des compléments de revenus à terme.
Souvent souscrite plus tard dans la vie, notamment pour son régime successoral avantageux (le capital versé au(x) bénéficiaire(s) ne fait pas partie de la succession du souscripteur), l’assurance vie, on l’oublie souvent, a pourtant un (autre) grand mérite : celui d’être extrêmement souple, ce qui est primordial lorsque l’on a un horizon de placement de 20 ans ou de 30 ans. Car même si vous êtes aujourd’hui en capacité de mettre de côté chaque mois 50 €, 100 € ou 200 € en plus
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