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Élisa Oudin
Les dépenses auxquelles les copropriétaires sont soumis ont une fâcheuse tendance à augmenter. Voici quelques conseils pour aider ces derniers et leurs représentants à limiter les frais.
Tarifs du fuel et du gaz qui flambent, primes d'assurances excessives, syndics qui multiplient les facturations en plus du forfait, mise aux normes des ascenseurs... La note des copropriétaires s'alourdit. Il est d'autant plus nécessaire que ces derniers entament eux-mêmes une chasse aux gaspillages que cela n'entre pas dans les attributions du syndic. Celui-ci n'y a d'ailleurs pas forcément intérêt. Pour le suivi des travaux importants, par exemple, il perçoit en général un pourcentage du montant des interventions. Notre conseil : au-delà de 5 % par an d'augmentation des charges, penchez-vous sur les comptes de la copropriété ! Et pour vous aider, voici, poste par poste, quelques pistes à suivre pour éviter les gros dérapages.
Pour les copropriétés en chauffage collectif, c'est le poste principal : de 20 % à 40 % des charges. Avec l'explosion des prix de l'énergie, maîtriser cette dépense devient crucial. « Sur une installation de plus de dix ans, on peut estimer les économies entre 10 et 15 % quand on pose une chaudière à basse température adaptée au réseau et, de 15 à 20 % sur une installation de plus de vingt ans », affirme Yann Coillet, responsable du bureau d'études
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Élisa Oudin
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