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Élisa Oudin
Apparu en France à la fin des années 90, le courtier en ligne est trois à quatre fois moins cher en moyenne que les banques et les gestionnaires de patrimoine...
Non seulement il permet d'accéder à un très grand nombre de titres (environ un millier éligibles au PEA), y compris ceux régulièrement plébiscités par les CGPI, mais en plus il propose des tarifs défiant toute concurrence depuis maintenant une décennie. Les banques cherchent à s'aligner avec une tarification sur Internet inférieure à celle en agence, mais le fossé n'est toujours pas comblé.
Les courtiers en ligne attirent surtout les clients les plus actifs, qui passent beaucoup d'ordres et ont donc intérêt à obtenir les coûts de transaction les plus bas. « La majorité de nos clients viennent pour gérer de façon autonome leurs placements », confirme Pascal Donnais, président du directoire de Fortuneo.fr. « Si le client souhaite faire ses arbitrages lui-même, il va sur Internet », observe aussi Laurent Gaillot, de la plate-forme Cholet Dupont Partenaires. Les clients des courtiers en ligne sont aussi souvent plus aguerris et prêts à accepter un maximum de risques. « Ils sont généralement plutôt bien informés de l'actualité financière et viennent rechercher sur les sites une information de qualité », ajoute Pascal Donnais. Ces investisseurs sont notamment arrivés en masse sur les sites avec la hausse de la Bourse.
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