Elsa Casalegno
Aliments ultratransformésLes repérer pour les limiter
Obtenus par des procédés industriels complexes et généralement assaisonnés de divers additifs, les aliments ultratransformés s’attirent les foudres des nutritionnistes depuis une dizaine d’années. En effet, ils sont souvent de mauvaise qualité nutritionnelle, et soupçonnés de participer à la hausse des maladies chroniques telles que le diabète, l’hypertension ou les accidents cardiovasculaires. Au point que les pouvoirs publics recommandent d’en réduire la part dans la diète des Français. Pourtant, ces produits remplissent les rayons des grandes surfaces, et leur consommation ne cesse d’augmenter. Voici quelques clés pour les identifier et en réduire drastiquement l’achat.
Après les produits trop gras, trop salés, trop sucrés, ce sont désormais les aliments ultratransformés (AUT) que vous devez apprendre à débusquer. Ces derniers n’ont plus grand-chose à voir avec les matières premières dont ils sont issus, à cause des traitements industriels qu’ils ont subis et de l’addition d’ingrédients en tout genre. Des AUT, vous en connaissez forcément. Il s’agit, par exemple, des biscuits Prince de Lu, du Coca-cola, des glaces Magnum, sans oublier les viennoiseries et autres gâteaux industriels, les biscuits apéritifs et nombre de plats préparés. Les repérer se révèle assez simple : pour
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Cécile Lelasseux
Rédactrice technique
Domitille Vey
Rédactrice technique
Léa Girard
Rédactrice technique