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Patricia Erb
Simplification, fléchage vers les travaux les plus efficaces et renforcement des mesures pour les ménages aux revenus modestes : telles sont les orientations données cette année aux aides pour la rénovation énergétique des bâtiments.
Crédit d’impôt en faveur de la transition énergétique (CITE), éco-prêt à taux zéro (PTZ), aides de l’Agence nationale de l’amélioration de l’habitat (Anah), certificats d’économie d’énergie (CEE)… Il existe de nombreux dispositifs pour vous aider à financer des travaux de rénovation énergétique. À chacun ses conditions, à chacun ses modalités, à chacun ses montants. Ce qui rend le système assez complexe, surtout si vous voulez mobiliser plusieurs aides. Et le reste à charge est encore trop élevé pour les ménages les plus modestes. Ces raisons expliquent l’orientation prise cette année par le gouvernement, déterminée à partir d’une simplification de l’éco-PTZ, du recentrage du CITE et du coup de pouce « chauffage » qui s’ajoute au coup de pouce « isolation » dans le cadre des certificats d’économie d’énergie, avec un effort accru en direction des ménages aux revenus modestes. Objectif : éradiquer les passoires énergétiques (logements dotés d’une étiquette énergétique « F » ou « G ») d’ici à 2025.
La suppression de l’exigence d’un bouquet de travaux et l’allongement de la durée de remboursement de l’éco-PTZ permettront ainsi aux particuliers d’étaler les travaux dans le temps. Après le
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Patricia Erb
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