
Marie Pellefigue
En matière de valeurs mobilières, deux impôts sont à payer : celui qui frappe les revenus de vos placements et celui qui touche les plus-values, à la revente de vos titres. Les prélèvements sociaux sont dus, en plus, et prélevés sur les gains réalisés. Enfin, à l’ouverture de votre succession, vos héritiers paient des droits, dont le montant varie selon le capital transmis. Pour échapper à tous ces types de taxation, vous pouvez toujours ouvrir des enveloppes comme le PEA et l’assurance vie.
Si vous investissez via un compte titres, les dividendes que vous touchez chaque année sont imposés l’année suivante au barème progressif de l’impôt (avec vos autres revenus), après un abattement de 40 %. Dans un PEA, les plus-values sont exonérées de taxation.
Dans un compte titres, l’État prélève un acompte de 21 % sur ces dividendes l’année du versement. L’année suivante, cet acompte est déduit de l’impôt à régler et fait l’objet d’un remboursement si, au final, le montant dû est moindre.
Bon à savoir : si votre revenu de référence de l’année passée est inférieur à 50 000 € (célibataire) ou 75 000 € (couple), vous pouvez demander à votre banque de ne pas payer l’acompte.
La plus-value taxable, qui correspond à la différence entre le prix de vente de
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Marie Pellefigue
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