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Yves Martin
Hier, le conducteur devait se décider entre essence ou diesel. S’ajoutent aujourd’hui l’hybride, l’électrique, etc., sans compter des vendeurs pas toujours à la hauteur. Trouver la motorisation adéquate devient complexe, mais essentiel à l’heure où les prix à la pompe s’envolent. On vous aide.
Sortir d’une concession automobile avec une compacte neuve équipée d’un moteur à essence était rare il y a 15 ans. Le diesel monopolisait alors les carnets de commandes jusqu’à représenter près de 80 % des ventes en 2008. Un succès en partie dû à l’entrée en vigueur, l’année précédente, d’un bonus écologique basé sur les rejets de CO2. Disposition qui, involontairement, favorisait le diesel, seule autre motorisation disponible à l’époque. Cette « diesélisation » à outrance, y compris pour des usages où ce moteur n’est pas du tout adapté, a eu deux effets indésirables : des pannes à répétition (casse de turbos, encrassement de vannes EGR et d’injecteurs…) et de fortes émissions de particules nocives pour la santé.
Aujourd’hui, la tendance s’est inversée : même devenu plus propre, le diesel se voit boudé. Parmi les raisons de ce revirement de situation, les importantes évolutions dont le moteur à essence a bénéficié, le rendant plus agréable à l’utilisation et moins gourmand. Résultat, sur les trois premiers mois de 2022, le diesel ne constitue plus que 16,5 % des ventes de voitures neuves en
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