ENQUÊTE

Assurance vie ou décèsDe 30 à 45 ans : Priorité à la protection de sa famille

Dans cette tranche d’âge, se couvrir avec une assurance décès devient une priorité. Reste à jongler entre tarifs et garanties Pour un contrat adéquat… En parallèle, l’assurance vie pourra constituer un patrimoine financier supplétif.

Avez-vous déjà pris dix minutes pour faire un bilan de votre budget familial en cas de vrai coup dur ? Cette question perturbe trop souvent les seuls détenteurs de patrimoine, inquiets d’en laisser excessivement au fisc. Ce qui est une erreur, car elle concerne au premier chef les familles avec peu de patrimoine, plus encore quand il y a charge d’âme(s). Entre 30 et 45 ans, c’est très souvent le cas. Problème : dans l’imaginaire collectif, l’État va pourvoir à l’essentiel. Faux, les montants versés par la Sécurité sociale seront, sauf dans certaines caisses de professions libérales, très insuffisants pour faire face. Ainsi, les proches ne pourront compter que sur 3 500 euros au décès d’un salarié (lire l’encadré) ! Pour ce qui est de la pension en cas d’invalidité, elle s’échelonne de 300 euros à 2 500 euros environ par mois pour les situations les plus graves, et selon les salaires sur lesquels l’invalide a cotisé. Toutefois, l’entreprise vient au secours de la famille dans la plupart des grands groupes (500 personnes ou plus), grâce au contrat de prévoyance collectif. La veuve et l’orphelin y bénéficient d’un à quatre ans de salaire brut, notamment si le défunt était

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Frédéric Giquel

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