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Anne-Sophie Stamane
Un arrêté d’août 2010 a modifié les critères de l’aptitude médicale à la conduite en cas de diabète, d’épilepsie ou d’altérations visuelles.
La visite médicale d’aptitude à la conduite n’est pas systématique. Ni avant de passer l’épreuve du permis, ni ensuite. C’est au candidat ou au conducteur de s’assurer qu’il est apte. S’il le néglige, il engage sa responsabilité, notamment en cas d’accident.
La loi liste les maladies et handicaps imposant la visite médicale, au cours de laquelle l’aptitude à la conduite est évaluée. Il s’agit d’affections pouvant occasionner des malaises (pathologies cardio-vasculaires, diabète, épilepsie), et des handicaps visuels et locomoteurs (amputation d’un membre…). Rares sont les incompatibilités strictes : citons l’insuffisance cardiaque chronique, l’hypertension artérielle grave non contrôlée… En dehors de ces cas, les médecins chargés de la visite se prononcent en général après avis spécialisé.
L’arrêté du 31 août 2010 a assoupli les critères dans trois maladies.
Diabète. Le risque hypoglycémique sert désormais de référence. Le permis est délivré ou renouvelé à condition de n’avoir pas fait deux hypoglycémies sévères dans les douze derniers mois. Il
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Anne-Sophie Stamane
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