Stéphany Gardier
RonflementsEt si c’étaient des apnées du sommeil ?
Les ronflements chroniques ne doivent pas être banalisés et en parler avec son médecin peut s’avérer utile. Il faut avant tout distinguer la simple « ronchopathie » d'un syndrome d’apnées obstructives du sommeil. Dans tous les cas, des solutions existent.
Bien que les ronflements puissent avoir un impact important sur la qualité de vie, rares sont les personnes qui en parlent à leur médecin. Certaines se rassurent en décrétant que « tout le monde ronfle », d’autres sont gênées, en particulier les femmes. Pourtant, après la ménopause, elles sont particulièrement sujettes aux ronflements. Au-delà des nuisances sonores, la « ronchopathie » peut perturber le sommeil et générer de la fatigue.
Comprendre mon ronflement
Il existe un large éventail de ronflements et trouver une réponse adaptée nécessite d’en faire une petite analyse. Le plus important est de déterminer si vous présentez des apnées du sommeil ou non.
Chercher le(s) coupable(s)
Si vous ronflez depuis l’adolescence, une cause anatomique (position de la langue, grosses amygdales, etc.) en est peut-être responsable. L’apparition récente de ronflements peut être liée à une prise de poids ou à un nouveau traitement médicamenteux. Les substances qui agissent sur le système nerveux central (anxiolytiques et somnifères notamment) sont connues pour augmenter le risque de ronflements, voire d’apnées du sommeil. Tenir un journal de vos
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