Yves Martin
Permis de conduireApprentissage anticipé
Avec l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) ou « conduite accompagnée », les chances d’obtenir son permis du premier coup sont plus grandes et l’assurance « jeune conducteur » moins chère.
Enseignement en deux parties
Ouvert dès l’âge de 16 ans, l’enseignement de la conduite accompagnée se déroule en deux phases : d’abord une formation en auto-école (20 heures de conduite au minimum + cours de code illimités). Si, à l’issue, le candidat réussit l’épreuve du code de la route, il peut participer à la phase 2. Il doit alors parcourir au moins 3 000 km, dans des conditions de circulation les plus variées possibles, afin d’acquérir une expérience de conduite sous le contrôle d’un accompagnateur. Un premier rendez-vous pédagogique est organisé par l’auto-école au milieu de cette phase d’apprentissage, un second avant le passage de l’examen de conduite.
L’accompagnateur
Il doit être âgé d’au moins 28 ans et titulaire du permis B depuis au moins trois ans. Le propriétaire de la voiture utilisée doit demander à son assureur une extension de garantie lors de l’inscription du jeune à l’auto-école. Elle est sans surprime. En cas d’accident pendant la phase d’apprentissage, l’assuré garde à sa charge une partie des dommages dans la limite de la franchise « conducteur novice », habituelle dans les contrats d’assurance.
Assurance avantageuse
L’apprentissage anticipé, plus coûteux, est
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