par Anne-Sophie Stamane
MédicamentsLes remèdes contre le mal des transports
Avoir mal au cœur sur la route ou en mer, ça gâche un peu le voyage. Pour l’éviter, les produits en pharmacie sont nombreux mais pas toujours d’un grand secours.
Appelé en langage médical « naupathie » ou « cinétose », le mal des transports désigne les nausées, vomissements, vertiges et pâleur qui peuvent survenir en voiture, en car, en bateau, en train, en avion ou même dans l’espace !
C’est souvent un mauvais, voire très mauvais moment à passer. Cependant, à condition de veiller au risque de déshydratation en cas de vomissements importants, ces symptômes sont sans danger et s’arrêtent avec le voyage.
Tant mieux, car les produits proposés en pharmacie sont peu efficaces (voir liste ci-dessous). Si la gêne est trop importante ou le voyage très long, les médicaments de la classe des antihistaminiques peuvent être utiles. Mais avant cela, il est recommandé de commencer par des techniques non médicamenteuses et éprouvées.
Minimiser le mal
Le mal des transports provient vraisemblablement du décalage entre les informations transmises au cerveau par les yeux et les données perçues par l’oreille interne. Il est donc possible de limiter cette discordance.
→ En voiture
S’asseoir à l’avant est une sage précaution. Demander à la personne qui conduit d’éviter les freinages ou accélérations brutales ! Moins il y a de virages, mieux c’est quand on a le choix de l’itinéraire.
→ En train
Viser si possible la tête du convoi, qui bouge moins.
→ En avion
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