
Marie Pellefigue
Si vous êtes décidé à céder un bien immobilier, ne vous lancez pas sans avoir balisé votre parcours de vendeur. Ensuite, présentez votre logement sous son meilleur jour et faites-vous épauler par le bon intermédiaire.
La loi vous oblige à fournir plusieurs éléments à vos acheteurs potentiels. Une série de diagnostics (lire l’encadré) devant être annexée à votre compromis, autant les réaliser avant de passer votre petite annonce. À ce dossier légal, ajoutez le montant de la taxe foncière et de celle d’habitation (pour les résidences secondaires), celui des charges annuelles, les procès-verbaux des dernières assemblées générales de copropriété, les factures des entreprises ayant effectué des travaux chez vous (plomberie, électricité) et celles d’équipements que vous laissez dans les lieux (chaudière, volets roulants, électroménager…). Si certaines rénovations sont à prévoir, vous pouvez aussi produire des devis. « Avoir sous les yeux un montant prévisionnel de travaux rassure et, surtout, limite l’envie de négocier », explique Franck Béasse, directeur d’agence Century 21 à Issy-les-Moulineaux (92). Autre intérêt : l’acheteur pourra faire des simulations fiables pour vérifier que le coût total de son acquisition correspond à sa capacité de financement. Cela vous évitera de voir un compromis de vente cassé après un passage chez le banquier.
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Marie Pellefigue
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