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Kheira Bettayeb
Olive, colza, noix, tournesol : chaque huile possède une température qu’il vaut mieux ne pas dépasser, pour le goût comme pour la santé.
Faut-il vraiment réserver l’huile de tournesol aux cuissons à haute température et les huiles d’olive et de colza à l’assaisonnement, comme on l’entend souvent ? Pour le savoir, il faut s’intéresser à une notion peu connue du grand public : le point de fumée. Il s’agit de la température à partir de laquelle la saveur et les qualités nutritionnelles de l’huile commencent à se détériorer, tandis que des substances toxiques se forment. « Le chauffage détruit certaines molécules réputées bénéfiques pour la santé, tels que les antioxydants. De plus, au-delà du point de fumée, il crée des composés volatils et carbonés altérant le goût et l’odeur », expose Frédéric Celhay, responsable Recherche & Développement chez Lesieur.
Cuisson à haute température (wok…)
Huiles raffinées (colza, tournesol, sésame, ricin, coco, arachide, maïs, pépin de raisin…) et huile d’olive vierge.
Cuisson à feu moyen à la poêle
Huiles non raffinées de tournesol, d’olive (y compris la vierge extra), d’arachide, de sésame…
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