
Marie Pellefigue
Vous craquez sur la photo d’un chaton postée sur les réseaux sociaux ? Méfiance ! Acheter un animal à un non-professionnel ou sur le Web est dangereux, et fortement déconseillé.
Malgré un durcissement de la loi sur la cession d’animaux et la multiplication d’obligations réglementaires, les sites de petites annonces regorgent encore de publicités illégales, et les textes sont trop rarement respectés. Si vous prévoyez d’adopter un compagnon à quatre pattes par l’entremise d’un particulier rencontré sur ce type de plateformes, redoublez d’attention, car les déconvenues s’avèrent fréquentes sur Internet.
Désormais, toutes les offres de don et de vente d’un chien ou d’un chat doivent contenir des informations précises, dont les noms scientifique et courant de son espèce et de sa race, son sexe, son lieu de naissance et son numéro d’identification au Fichier national des carnivores domestiques (I-Cad). Les sites qui publient les annonces, eux, sont tenus de créer une rubrique qui est dédiée aux animaux de compagnie, puis de contrôler et de labelliser chacune d’entre elles. Si vous constatez que des données manquent, ne contactez pas la personne : vous risquez d’encourager le trafic d’animaux et d’adopter une bête en mauvaise santé.
Il est interdit de commercialiser ou de donner un petit de moins de huit semaines (art. L. 214-8 du Code rural). En effet, s’il n’a pas atteint cet âge, il ne
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Marie Pellefigue
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