
Élisabeth Chesnais
En plus des données déjà fournies sur la durée de vie, la puissance en watts, les emballages doivent donner d’autres informations au client (étiquetage imposé par l’Union européenne) (1). Décryptage.
C’est d’elle que dépend la lumière chaude ou froide. Elle est exprimée en « T Kelvin » ou directement par la couleur, jaune pour le chaud, bleu pour le froid. Vérifiez la valeur indiquée. Entre 2 500 et 3 200 degrés Kelvin, on parle de lumière chaude, au-delà de lumière froide. C’est le cas de la mention « lumière du jour », qui correspond à 6 400 K.
Les emballages dessinent en général un interrupteur marche/arrêt et lui associent un chiffre, c’est le nombre d’allumages que l’ampoule peut endurer. 20 000 c’est bien, 10 000 c’est insuffisant pour un lieu de passage.
Certaines ampoules basse consommation sont lentes (près d’une minute), d’autres rapides dans la montée en régime. Le temps mis à atteindre 60 % du flux lumineux total est indiqué. La mention n’est pas toujours évidente à repérer, mais le chiffre est suivi d’un « s », pour secondes.
C’est une précision a priori technique mais le nombre de lumens (lm) est une donnée importante. Il correspond à la quantité de lumière que produit la lampe, c’est plus informatif que le nombre de watts.
Les ampoules fluo compactes ne conviennent pas toutes à un usage
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