Test Nania I-Max SP Isofix
Prix indicatif 99 €
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Avis du testeur
Déjà testé en 2014, le siège auto Nania I-Max SP Isofix reste d’actualité et rencontre toujours autant de succès, notamment grâce à son prix attractif. Nous l’avons testé une seconde fois selon notre nouveau protocole d’essai (plus sévère depuis 2015) afin de pouvoir le comparer de manière équitable aux modèles les plus récents.
Comme son nom l’indique, le Nania I-Max SP Isofix est un siège de type Isofix. Il ne peut pas être utilisé uniquement avec la ceinture de sécurité. Homologué selon le règlement R44, il couvre les groupes 1, 2 et 3. Ce siège permet donc transporter les enfants à partir de 9 kg jusqu’à ce qu’ils n’aient plus besoin de système de retenue (environ 12 ans). Entre 9 et 18 kg (groupe 1), le siège est attaché avec ses deux points d’ancrage spécifiques complétés par un troisième, une sangle supérieure (appelée « top tether »). L’enfant est maintenu par un harnais 5 points à boucle avec alarme sonore d’ouverture. Pour le groupe 2/3, le harnais est retiré et le siège se transforme en rehausseur à dossier dans lequel l’enfant est pris en sandwich entre le siège et la ceinture de sécurité adulte, tout en conservant l’utilisation des deux points d’ancrage Isofix. L’I-Max SP Isofix possède deux accoudoirs relevables, ce qui facilite l’installation de l’enfant, et un réducteur non inclinable pour les plus petits.
Évaluation Que Choisir
Poids
Sécurité
Nos essais s’inspirent de la norme actuellement en vigueur (R129, ou i-Size), mais ils se veulent plus sévères et plus réalistes. Nous avons ainsi utilisé une vraie carrosserie de voiture pour le choc frontal, en augmentant la puissance de l’impact par rapport à celui des textes officiels. Pour le choc latéral, nous avons réduit l’intrusion de la porte mais augmenté l’accélération subie lors de l’impact.
Facilité d'emploi
Confort
Santé et environnement
Ce critère n’est pas pris en compte dans le calcul de la note finale, mais il peut limiter la note globale dans les cas extrêmes.
Ce critère est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des milliers de molécules, présentes un peu partout dans les textiles, les produits de nettoyage, les revêtements, les appareils électriques, les jouets, etc. ont des effets encore mal connus.
Certaines molécules sont soupçonnées d’être responsables de l’augmentation des allergies, des cancers ou de l’infertilité. Si 100 000 substances sont commercialisées dans l’Union européenne (UE), seules celles mises sur le marché depuis 1981 – soit à peine 3 000 – ont été étudiées.
Au niveau de l’UE, le règlement appelé REACH, entré en vigueur en 2007, devra permettre à terme de supprimer les produits les plus dangereux. Il a pour objectif d’offrir une meilleure protection vis-à-vis des produits chimiques pour l’homme et pour l’environnement.
REACH est l’acronyme anglais de « enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques ». Il s’agit de l’une des législations les plus ambitieuses jamais adoptées par l’UE. Elle va instaurer, d’ici à 2018, l’enregistrement de quelque 30 000 substances fabriquées ou importées en Europe pour des quantités dépassant 1 tonne par an.
Désormais, ce ne sera plus aux autorités sanitaires de démontrer la nocivité des produits, mais aux industriels de prouver qu’ils sont sûrs. Depuis le 1er juin 2008, les fabricants et importateurs doivent se « préenregistrer » auprès de l’agence. Ils précisent le type et le volume de leurs productions. Une hiérarchisation est opérée à partir de ces données pour déterminer l’ordre dans lequel les substances doivent être enregistrées, et éventuellement évaluées.
Chaque pays de l’UE a ses spécificités au niveau des molécules ou de leur seuil autorisé selon l’usage de l’objet (jouet, vêtement…). Ainsi, selon la réglementation prise en considération, les interprétations sont différentes : norme jouet, REACH, Écolabel, norme européenne, française, etc.
Les substances toxiques dont nous avons mesuré la teneur dans les sièges enfants sont celles qui sont connues et susceptibles d’avoir un effet cancérigène ou mutagène sur les êtres humains.
Ce critère est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des milliers de molécules, présentes un peu partout dans les textiles, les produits de nettoyage, les revêtements, les appareils électriques, les jouets, etc. ont des effets encore mal connus.
Certaines molécules sont soupçonnées d’être responsables de l’augmentation des allergies, des cancers ou de l’infertilité. Si 100 000 substances sont commercialisées dans l’Union européenne (UE), seules celles mises sur le marché depuis 1981 – soit à peine 3 000 – ont été étudiées.
Au niveau de l’UE, le règlement appelé REACH, entré en vigueur en 2007, devra permettre à terme de supprimer les produits les plus dangereux. Il a pour objectif d’offrir une meilleure protection vis-à-vis des produits chimiques pour l’homme et pour l’environnement.
REACH est l’acronyme anglais de « enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques ». Il s’agit de l’une des législations les plus ambitieuses jamais adoptées par l’UE. Elle va instaurer, d’ici à 2018, l’enregistrement de quelque 30 000 substances fabriquées ou importées en Europe pour des quantités dépassant 1 tonne par an.
Désormais, ce ne sera plus aux autorités sanitaires de démontrer la nocivité des produits, mais aux industriels de prouver qu’ils sont sûrs. Depuis le 1er juin 2008, les fabricants et importateurs doivent se « préenregistrer » auprès de l’agence. Ils précisent le type et le volume de leurs productions. Une hiérarchisation est opérée à partir de ces données pour déterminer l’ordre dans lequel les substances doivent être enregistrées, et éventuellement évaluées.
Chaque pays de l’UE a ses spécificités au niveau des molécules ou de leur seuil autorisé selon l’usage de l’objet (jouet, vêtement…). Ainsi, selon la réglementation prise en considération, les interprétations sont différentes : norme jouet, REACH, Écolabel, norme européenne, française, etc.
Les substances toxiques dont nous avons mesuré la teneur dans les sièges enfants sont celles qui sont connues et susceptibles d’avoir un effet cancérigène ou mutagène sur les êtres humains.
Caractéristiques Nania I-Max SP Isofix
Prix du siège seul
Il s'agit du prix du siège seul pour les modèles testés avec une base.
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99 €
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Prix de la base
Il s'agit du prix de la base seule pour les modèles testés avec une base.
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Norme d'homologation |
R44-04
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Groupe ou équivalent |
Groupe 1/2/3
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Poids (si R44-04) ou taille (si R129) de l'enfant |
Enfant de 9 à 36 kg
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Mode d'installation de la configuration testée |
Siège ceinturé et Isofix
Selon l'âge de l'enfant, soit le siège est simplement ceinturé, soit l'emploi des attaches Isofix est nécessaire. Les deux systèmes doivent parfois être utilisés conjointement.
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Siège pivotant |
Non
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Lars Ly
Rédacteur technique
La sélection de produits ou services est représentative du marché, bien que non-exhaustive. À l’exception des autorisations données par Bureau Veritas Certification conformément aux règles de La Note Que Choisir, il n’existe aucune relation contractuelle entre l’UFC-Que Choisir et les professionnels référencés.