Test Britax Römer Kidfix SL
Prix indicatif 185 €
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Avis du testeur
Siège auto du groupe 2/3 - Testé en octobre 2015
Le rehausseur à dossier Britax-Römer Kidfix SL du groupe 2/3 est la version « Isofix » du Kid II. Pour être exact, nous devrions dire « Isofit », car l’on ne peut parler d’Isofix que pour les sièges des groupes 0, 0+ ou 1 qui possèdent un troisième point d’ancrage. Le Kidfix SL peut être soit simplement ceinturé, à l’instar de son clone Kid II démuni d’Isofit, soit ceinturé et attaché avec les deux attaches Isofit de type « SL » (pour « Soft Latch »), constituées de crochets Isofix attachés au siège par des sangles, donc de manière souple. Le système Isofit sert à stabiliser le siège sur la banquette et à le maintenir en place quand il n’est pas utilisé. Le dossier, réglable en hauteur d’une seule main, embarque deux guides de ceinture de sécurité (un de chaque côté, selon la position du siège dans la voiture) qui assurent le bon positionnement de la sangle thoracique quel que soit le réglage. Le Kidfix SL peut transporter les enfants à partir de 15 kg.
Il existe une version de ce siège munie de protections latérales renforcées, appelée Kidfix SL SICT (Side Impact Cushion Technology) ; nous l’avons testée en juin 2015.
Évaluation Que Choisir
Poids
Sécurité
Nos essais s’inspirent de la norme actuellement en vigueur (R129, ou i-Size), mais ils se veulent plus sévères et plus réalistes. Nous avons ainsi utilisé une vraie carrosserie de voiture pour le choc frontal, en augmentant la puissance de l’impact par rapport à celui des textes officiels. Pour le choc latéral, nous avons réduit l’intrusion de la porte mais augmenté l’accélération subie lors de l’impact.
Facilité d'emploi
Confort
Santé et environnement
Ce critère n’est pas pris en compte dans le calcul de la note finale, mais il peut limiter la note globale dans les cas extrêmes.
Ce critère est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des milliers de molécules, présentes un peu partout dans les textiles, les produits de nettoyage, les revêtements, les appareils électriques, les jouets, etc. ont des effets encore mal connus.
Certaines molécules sont soupçonnées d’être responsables de l’augmentation des allergies, des cancers ou de l’infertilité. Si 100 000 substances sont commercialisées dans l’Union européenne (UE), seules celles mises sur le marché depuis 1981 – soit à peine 3 000 – ont été étudiées.
Au niveau de l’UE, le règlement appelé REACH, entré en vigueur en 2007, devra permettre à terme de supprimer les produits les plus dangereux. Il a pour objectif d’offrir une meilleure protection vis-à-vis des produits chimiques pour l’homme et pour l’environnement.
REACH est l’acronyme anglais de « enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques ». Il s’agit de l’une des législations les plus ambitieuses jamais adoptées par l’UE. Elle va instaurer, d’ici à 2018, l’enregistrement de quelque 30 000 substances fabriquées ou importées en Europe pour des quantités dépassant 1 tonne par an.
Désormais, ce ne sera plus aux autorités sanitaires de démontrer la nocivité des produits, mais aux industriels de prouver qu’ils sont sûrs. Depuis le 1er juin 2008, les fabricants et importateurs doivent se « préenregistrer » auprès de l’agence. Ils précisent le type et le volume de leurs productions. Une hiérarchisation est opérée à partir de ces données pour déterminer l’ordre dans lequel les substances doivent être enregistrées, et éventuellement évaluées.
Chaque pays de l’UE a ses spécificités au niveau des molécules ou de leur seuil autorisé selon l’usage de l’objet (jouet, vêtement…). Ainsi, selon la réglementation prise en considération, les interprétations sont différentes : norme jouet, REACH, Écolabel, norme européenne, française, etc.
Les substances toxiques dont nous avons mesuré la teneur dans les sièges enfants sont celles qui sont connues et susceptibles d’avoir un effet cancérigène ou mutagène sur les êtres humains.
Ce critère est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des milliers de molécules, présentes un peu partout dans les textiles, les produits de nettoyage, les revêtements, les appareils électriques, les jouets, etc. ont des effets encore mal connus.
Certaines molécules sont soupçonnées d’être responsables de l’augmentation des allergies, des cancers ou de l’infertilité. Si 100 000 substances sont commercialisées dans l’Union européenne (UE), seules celles mises sur le marché depuis 1981 – soit à peine 3 000 – ont été étudiées.
Au niveau de l’UE, le règlement appelé REACH, entré en vigueur en 2007, devra permettre à terme de supprimer les produits les plus dangereux. Il a pour objectif d’offrir une meilleure protection vis-à-vis des produits chimiques pour l’homme et pour l’environnement.
REACH est l’acronyme anglais de « enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques ». Il s’agit de l’une des législations les plus ambitieuses jamais adoptées par l’UE. Elle va instaurer, d’ici à 2018, l’enregistrement de quelque 30 000 substances fabriquées ou importées en Europe pour des quantités dépassant 1 tonne par an.
Désormais, ce ne sera plus aux autorités sanitaires de démontrer la nocivité des produits, mais aux industriels de prouver qu’ils sont sûrs. Depuis le 1er juin 2008, les fabricants et importateurs doivent se « préenregistrer » auprès de l’agence. Ils précisent le type et le volume de leurs productions. Une hiérarchisation est opérée à partir de ces données pour déterminer l’ordre dans lequel les substances doivent être enregistrées, et éventuellement évaluées.
Chaque pays de l’UE a ses spécificités au niveau des molécules ou de leur seuil autorisé selon l’usage de l’objet (jouet, vêtement…). Ainsi, selon la réglementation prise en considération, les interprétations sont différentes : norme jouet, REACH, Écolabel, norme européenne, française, etc.
Les substances toxiques dont nous avons mesuré la teneur dans les sièges enfants sont celles qui sont connues et susceptibles d’avoir un effet cancérigène ou mutagène sur les êtres humains.
Caractéristiques Britax Römer Kidfix SL
Prix du siège seul
Il s'agit du prix du siège seul pour les modèles testés avec une base.
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185 €
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Prix de la base
Il s'agit du prix de la base seule pour les modèles testés avec une base.
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Norme d'homologation |
R44-04
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Groupe ou équivalent |
Groupe 2/3
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Poids (si R44-04) ou taille (si R129) de l'enfant |
Enfant de 15 à 36 kg
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Mode d'installation de la configuration testée |
Siège ceinturé + Isofix optionnel
Le siège est attaché au véhicule en utilisant la ceinture de sécurité adulte plus éventuellement deux attaches de type Isofix si le véhicule en est équipé.
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Siège pivotant |
Non
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Lars Ly
Rédacteur technique
La sélection de produits ou services est représentative du marché, bien que non-exhaustive. À l’exception des autorisations données par Bureau Veritas Certification conformément aux règles de La Note Que Choisir, il n’existe aucune relation contractuelle entre l’UFC-Que Choisir et les professionnels référencés.