Test Britax Römer Dualfix i-Size
Prix indicatif 549 €
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Avis du testeur
Le siège Britax Römer Dualfix i-Size permet de transporter les enfants dos à la route jusqu’à l’âge avancé de 4 ans. Mais bien que cette position soit la plus protectrice, il est possible de faire pivoter le siège sur la base dont il est solidaire afin de placer l’enfant face à la route, à partir de 15 mois (et un minimum de taille de 76 cm) selon le règlement i-Size. Une position intermédiaire orientée vers la porte est prévue pour faciliter l’installation de l’enfant. La base du siège est fixée avec deux attaches Isofix et une jambe de force ; l’enfant est retenu par un harnais de sécurité à 5 points.
Le siège Dualfix i-Size bénéficie des innovations technologiques que Britax-Römer a apportées à ses nouveautés en vue d’améliorer la protection de l’enfant. Il profite ainsi de « SICT Inside », renfort intégré pour la protection latérale (finis les éléments latéraux escamotables ou démontables ; tout est enfermé dans les ailes du siège), et du système Pivot Link qui, par un mouvement du siège, dirige dans les premier instants du choc frontal les forces de freinage vers le bas et non vers l’avant (au profit de la protection du cou).
Pour les nouveau-nés, le Dualfix i-Size intègre un insert qui doit être retiré dès que l’enfant atteint 60 cm.
Évaluation Que Choisir
Poids
Sécurité
Nos essais s’inspirent de la norme actuellement en vigueur (R129, ou i-Size), mais ils se veulent plus sévères et plus réalistes. Nous avons ainsi utilisé une vraie carrosserie de voiture pour le choc frontal, en augmentant la puissance de l’impact par rapport à celui des textes officiels. Pour le choc latéral, nous avons réduit l’intrusion de la porte mais augmenté l’accélération subie lors de l’impact.
Facilité d'emploi
Confort
Santé et environnement
Ce critère n’est pas pris en compte dans le calcul de la note finale, mais il peut limiter la note globale dans les cas extrêmes.
Ce critère est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des milliers de molécules, présentes un peu partout dans les textiles, les produits de nettoyage, les revêtements, les appareils électriques, les jouets, etc. ont des effets encore mal connus.
Certaines molécules sont soupçonnées d’être responsables de l’augmentation des allergies, des cancers ou de l’infertilité. Si 100 000 substances sont commercialisées dans l’Union européenne (UE), seules celles mises sur le marché depuis 1981 – soit à peine 3 000 – ont été étudiées.
Au niveau de l’UE, le règlement appelé REACH, entré en vigueur en 2007, devra permettre à terme de supprimer les produits les plus dangereux. Il a pour objectif d’offrir une meilleure protection vis-à-vis des produits chimiques pour l’homme et pour l’environnement.
REACH est l’acronyme anglais de « enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques ». Il s’agit de l’une des législations les plus ambitieuses jamais adoptées par l’UE. Elle va instaurer, d’ici à 2018, l’enregistrement de quelque 30 000 substances fabriquées ou importées en Europe pour des quantités dépassant 1 tonne par an.
Désormais, ce ne sera plus aux autorités sanitaires de démontrer la nocivité des produits, mais aux industriels de prouver qu’ils sont sûrs. Depuis le 1er juin 2008, les fabricants et importateurs doivent se « préenregistrer » auprès de l’agence. Ils précisent le type et le volume de leurs productions. Une hiérarchisation est opérée à partir de ces données pour déterminer l’ordre dans lequel les substances doivent être enregistrées, et éventuellement évaluées.
Chaque pays de l’UE a ses spécificités au niveau des molécules ou de leur seuil autorisé selon l’usage de l’objet (jouet, vêtement…). Ainsi, selon la réglementation prise en considération, les interprétations sont différentes : norme jouet, REACH, Écolabel, norme européenne, française, etc.
Les substances toxiques dont nous avons mesuré la teneur dans les sièges enfants sont celles qui sont connues et susceptibles d’avoir un effet cancérigène ou mutagène sur les êtres humains.
Ce critère est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des milliers de molécules, présentes un peu partout dans les textiles, les produits de nettoyage, les revêtements, les appareils électriques, les jouets, etc. ont des effets encore mal connus.
Certaines molécules sont soupçonnées d’être responsables de l’augmentation des allergies, des cancers ou de l’infertilité. Si 100 000 substances sont commercialisées dans l’Union européenne (UE), seules celles mises sur le marché depuis 1981 – soit à peine 3 000 – ont été étudiées.
Au niveau de l’UE, le règlement appelé REACH, entré en vigueur en 2007, devra permettre à terme de supprimer les produits les plus dangereux. Il a pour objectif d’offrir une meilleure protection vis-à-vis des produits chimiques pour l’homme et pour l’environnement.
REACH est l’acronyme anglais de « enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques ». Il s’agit de l’une des législations les plus ambitieuses jamais adoptées par l’UE. Elle va instaurer, d’ici à 2018, l’enregistrement de quelque 30 000 substances fabriquées ou importées en Europe pour des quantités dépassant 1 tonne par an.
Désormais, ce ne sera plus aux autorités sanitaires de démontrer la nocivité des produits, mais aux industriels de prouver qu’ils sont sûrs. Depuis le 1er juin 2008, les fabricants et importateurs doivent se « préenregistrer » auprès de l’agence. Ils précisent le type et le volume de leurs productions. Une hiérarchisation est opérée à partir de ces données pour déterminer l’ordre dans lequel les substances doivent être enregistrées, et éventuellement évaluées.
Chaque pays de l’UE a ses spécificités au niveau des molécules ou de leur seuil autorisé selon l’usage de l’objet (jouet, vêtement…). Ainsi, selon la réglementation prise en considération, les interprétations sont différentes : norme jouet, REACH, Écolabel, norme européenne, française, etc.
Les substances toxiques dont nous avons mesuré la teneur dans les sièges enfants sont celles qui sont connues et susceptibles d’avoir un effet cancérigène ou mutagène sur les êtres humains.
Caractéristiques Britax Römer Dualfix i-Size
Prix du siège seul
Il s'agit du prix du siège seul pour les modèles testés avec une base.
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549 €
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Prix de la base
Il s'agit du prix de la base seule pour les modèles testés avec une base.
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Norme d'homologation |
R129
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Groupe ou équivalent |
Groupe 0+/1
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Poids (si R44-04) ou taille (si R129) de l'enfant |
Enfant de 40 à 105 cm
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Mode d'installation de la configuration testée |
Siège Isofix
L'utilisation du système d'ancrage Isofix est nécessaire dans tous les cas de figure, parfois conjointement avec la ceinture de sécurité.
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Siège pivotant |
Oui
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Lars Ly
Rédacteur technique
La sélection de produits ou services est représentative du marché, bien que non-exhaustive. À l’exception des autorisations données par Bureau Veritas Certification conformément aux règles de La Note Que Choisir, il n’existe aucune relation contractuelle entre l’UFC-Que Choisir et les professionnels référencés.