Cette substance colorante est un sensibilisant fort.
Ceteareth-20
1-hydroxyethyl 4,5-diamino pyrazole sulfate
Cette substance colorante est un sensibilisant fort.
Sodium metabisulfite
P-phenylenediamine
Largement présent dans les teintures capillaires permanentes, ce colorant fait partie des composés dont on se demande pourquoi ils ne sont pas encore interdits. Selon l’avis publié en 2012 par le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs, groupe d’experts de la Commission européenne chargé d’évaluer les cosmétiques, « Il a été démontré que la p-Phenylenediamine est un allergène de contact très puissant chez l’animal, c’est aussi un allergène fréquent chez l’homme qui peut engendrer des réactions graves. C’est un sensibilisant extrêmement fort, qui fait partie des tests de routine [pour déterminer la cause d’une réaction allergique, ndlr]. Son utilisation dans les teintures capillaires demeure une préoccupation considérable en termes de sécurité des consommateurs. » Nombre de cas d’eczéma ont été rapportés chez des utilisateurs et des coiffeurs. À noter que la p-Phenylenediamine peut aussi se retrouver dans les tatouages éphémères.
P-aminophenol
Le potentiel sensibilisant de cette substance colorante n’est pas exclu.
Oleyl alcohol
M-aminophenol
Cette substance colorante est un sensibilisant fort.
P-methylaminophenol sulfate
Cette substance colorante est un sensibilisant modéré.
Polyquaternium-22
Ascorbic acid
Pentasodium pentetate
Peg-40 castor oil
Sodium cetearyl sulfate
Hydrogen peroxide
Paraffinum liquidum
Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Trideceth-2 carboxamide mea
Glycerin
Phosphoric acid
Simmondsia chinensis seed oil
Macadamia ternifolia seed oil
Olea europaea fruit oil
Sodium stannate
Tetrasodium pyrophosphate
Distearoylethyl hydroxyethylmonium methosulfate
Stearyl alcohol
Parfum
Amodimethicone
Imidazolidinyl urea
Cetrimonium chloride
Trideceth-12
Coumarin
Les substances allergènes proviennent principalement des parfums incorporés dans les formules, mais on en trouve aussi dans les conservateurs. Les molécules susceptibles de provoquer une réaction allergique sont extrêmement nombreuses, mais les 26 qui en provoquent le plus sont obligatoirement étiquetées dès lors qu’elles sont présentes à hauteur de plus de 0,001 % dans les produits non rincés et 0,01 % dans ceux qui sont rincés. Indiqués en fin de liste d’ingrédients, les allergènes sont très fréquents dans tous types de produits, y compris affichant « testé sous contrôle dermatologique » ou « hypoallergénique ».
Butylphenyl methylpropional
Le butylphenyl methylpropional, aussi appelé lilial ou BMHCA, est l’un des 26 allergènes à déclaration obligatoire dès une certaine concentration sur les étiquettes des produits cosmétiques. Mais cet ingrédient de parfum a un autre défaut : il serait toxique pour la reproduction et jugé non sûr pour une utilisation dans les produits cosmétiques. C’est ce que le Comité scientifique européen pour la sécurité des consommateurs (CSSC) en charge de son évaluation avait conclu en 2015 et confirmé en 2017 après l’adoption d’un nouvel avis : « le CSSC estime que la potentielle génotoxicité du BMHCA ne peut pas être exclue. De ce fait, le CSSC ne peut pas émettre de conclusion sur la sécurité du BMHCA ». Mais ce n'est qu'en 2022 qu'il est finalement totalement interdit.
Linalool
Les substances allergènes proviennent principalement des parfums incorporés dans les formules, mais on en trouve aussi dans les conservateurs. Les molécules susceptibles de provoquer une réaction allergique sont extrêmement nombreuses, mais les 26 qui en provoquent le plus sont obligatoirement étiquetées dès lors qu’elles sont présentes à hauteur de plus de 0,001 % dans les produits non rincés et 0,01 % dans ceux qui sont rincés. Indiqués en fin de liste d’ingrédients, les allergènes sont très fréquents dans tous types de produits, y compris affichant « testé sous contrôle dermatologique » ou « hypoallergénique ».
Triethanolamine
Citric acid
Soutenez-nous, rejoignez-nous
La force d'une association tient à ses adhérents ! Aujourd'hui plus que jamais, nous comptons sur votre soutien.
Nous soutenir