Cet émollient (ingrédient utilisé pour adoucir la peau) est en partie constitué de deux ingrédients, le cyclopentasiloxane et le cyclotetrasiloxane. Ces deux composés ont montré des propriétés de perturbation endocrinienne, le deuxième est classé toxique pour la reproduction et tous deux sont particulièrement déconseillés dans les produits en spray.
Glycerin
Cetearyl alcohol
Methylsilanol mannuronate
Caprylic/capric triglyceride
Prunus amygdalus dulcis oil
Prunus amygdalus dulcis protein
Prunus amygdalus dulcis seed extract
Juglans regia seed extract
Parfum
Cetearyl glucoside
Ppg-26-buteth-26
Carbomer
Sodium polyacrylate
Phenoxyethanol
Les produits contenant du phénoxyéthanol sont notés « rouge » (D) pour les tout-petits pour tenir compte de la nocivité de ce conservateur chez ces derniers. Les femmes enceintes, elles, semblent pouvoir l’utiliser sans risque.
Ce conservateur a été réévalué par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) en 2012. Elle l’a jugé hématotoxique et hépatotoxique (toxique pour le sang et le foie). Compte tenu d’une concentration de 1 % dans les produits, de l’absorption cutanée et de la dose sans effet, l’agence a posé des limites pour les enfants de moins de 3 ans. Selon elle, le phenoxyethanol ne devrait pas être employé dans les cosmétiques destinés au siège, qu’ils se rincent ou non : ces produits étant les plus fréquemment et abondamment utilisés, une absorption excessive de phenoxyethanol par la peau serait à craindre. Pour les autres cosmétiques destinés aux tout-petits, sa concentration devrait être limitée à 0,4 %. Malheureusement, comme toutes les agences, l’ANSM n’a qu’un pouvoir, celui de donner son avis. Si aucun texte réglementaire ne le reprend, les industriels peuvent tout à fait l’ignorer. Ils sont d’autant plus enclins à le faire que le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs, sous l’égide de la Commission européenne, a récemment jugé, de son côté, que cet ingrédient était sûr pour tous les utilisateurs quel que soit leur âge. Interrogée, l’ANSM nous dit maintenir sa position.
Chlorphenesin
Mannitol
Ethylhexylglycerin
Peg-40 hydrogenated castor oil
Menthyl lactate
Sodium lauryl sulfate
Essentiellement exploité comme tensioactif (qui permet aux corps gras de la formule de se disperser dans l’eau), le sodium lauryl sulfate est un irritant bien connu, les scientifiques le savent depuis des décennies. Il n’est qu’à compulser leurs publications pour s’en convaincre : ici on le désigne comme « l’irritant standard », là, on introduit le propos par « le sodium lauryl sulfate (SLS), un tensioactif fréquemment utilisé pour induire expérimentalement des dermatites de contact »… Cet ingrédient est malgré tout présent dans un très grand nombre de références. Mais ce sont le plus souvent des produits rincés, les doses ne sont pas forcément très élevées et certains consommateurs le supportent bien. Chez d’autres, en revanche, les produits lavants laissent la peau inconfortable (attention en particulier avec les produits pour enfants et ceux destinés aux zones intimes) et les dentifrices provoquent des aphtes.
A noter que le sodium laureth sulfate est nettement moins irritant.
Glyceryl polymethacrylate
Biosaccharide gum-1
Sodium metabisulfite
Sorbic acid
Glyceryl stearate se
Xanthan gum
Benzoic acid
Dehydroacetic acid
Polyaminopropyl biguanide
Tocopherol
Limonene
Les substances allergènes proviennent principalement des parfums incorporés dans les formules, mais on en trouve aussi dans les conservateurs. Les molécules susceptibles de provoquer une réaction allergique sont extrêmement nombreuses, mais les 26 qui en provoquent le plus sont obligatoirement étiquetées dès lors qu’elles sont présentes à hauteur de plus de 0,001 % dans les produits non rincés et 0,01 % dans ceux qui sont rincés. Indiqués en fin de liste d’ingrédients, les allergènes sont très fréquents dans tous types de produits, y compris affichant « testé sous contrôle dermatologique » ou « hypoallergénique ».
Linalool
Les substances allergènes proviennent principalement des parfums incorporés dans les formules, mais on en trouve aussi dans les conservateurs. Les molécules susceptibles de provoquer une réaction allergique sont extrêmement nombreuses, mais les 26 qui en provoquent le plus sont obligatoirement étiquetées dès lors qu’elles sont présentes à hauteur de plus de 0,001 % dans les produits non rincés et 0,01 % dans ceux qui sont rincés. Indiqués en fin de liste d’ingrédients, les allergènes sont très fréquents dans tous types de produits, y compris affichant « testé sous contrôle dermatologique » ou « hypoallergénique ».
Coumarin
Les substances allergènes proviennent principalement des parfums incorporés dans les formules, mais on en trouve aussi dans les conservateurs. Les molécules susceptibles de provoquer une réaction allergique sont extrêmement nombreuses, mais les 26 qui en provoquent le plus sont obligatoirement étiquetées dès lors qu’elles sont présentes à hauteur de plus de 0,001 % dans les produits non rincés et 0,01 % dans ceux qui sont rincés. Indiqués en fin de liste d’ingrédients, les allergènes sont très fréquents dans tous types de produits, y compris affichant « testé sous contrôle dermatologique » ou « hypoallergénique ».
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