Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Myristyl lactate
Microcrystalline wax
Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Paraffinum liquidum
Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Water
Butyl methoxydibenzoylmethane
Triisostearin peg-6 esters
Beeswax
C12-16 alcohols
Ectoin
Mannitol
Laminaria ochroleuca extract
Tocopherol
Decyl glucoside
Hydrogenated lecithin
Palmitic acid
Glyceryl undecyl dimethicone
Propylene glycol
Xanthan gum
Citric acid
Caprylic/capric triglyceride
Tetrasodium edta
Bht
Cet agent antioxydant permet d’éviter l’oxydation des formules, notamment de la phase grasse des émulsions, susceptible de rancir. Il est assez fréquemment utilisé, en particulier pour remplacer le BHA, un ingrédient soupçonné d’être à la fois perturbateur endocrinien et toxique pour la reproduction. Malheureusement, comme le souligne l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire), ces deux composés sont de proches parents et « leurs usages aussi bien que les préoccupations à leur sujet sont très similaires ». Le BHT semble être un perturbateur endocrinien. L’Anses a donc saisi les autorités européennes pour que soient réévalués ses effets sur le système hormonal, la reproduction, ainsi que son éventuelle action cancérogène.
Octocrylene
L’octocrylène est aujourd’hui mis en cause à la suite de travaux d’une équipe de chercheurs français (Centre national de la recherche scientifique et Sorbonne Université) et américains publiés en 2021. Ils ont démontré que l’octocrylène se dégrade avec le temps et génère de la benzophénone, un composé toxique, dans des proportions qui peuvent représenter un risque pour les consommateurs. Les auteurs préconisent son interdiction.
→ Crèmes solaires - L’octocrylène sur la sellette - Actualité - UFC-Que Choisir
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