Gaëlle Landry
Rédactrice technique
L’absence de substances toxiques dans le mascara prime.
Un laboratoire expert en produits de maquillage a analysé les performances des mascaras :
En tout, 26 critères décrivant les caractéristiques des mascaras ont été passés au crible à leur ouverture et après 1 mois d’utilisation quotidienne. Les produits ont été utilisés en vue d’obtenir le meilleur résultat possible, imposant nécessairement d’appliquer plusieurs couches (frais sur frais, frais sur sec…).
En complément, une évaluation visuelle a été réalisée. Elle visait à comparer le résultat sur les cils après une seule application sur la base de photos de face et de profil avec et sans mascara.
Le test d’usage a consisté à recueillir, pour chaque produit, les avis de 30 panélistes après une semaine d’utilisation des mascaras. Les questions ont porté sur la praticité et les performances notamment en termes de résultat sur les cils (tenue, absence de défauts, volume, longueur, définition, etc.).
130 personnes ont utilisé et jugé chacune au moins 8 produits, puis précisé si elles étaient prêtes à les acheter. Le test s’est fait à l’aveugle après avoir anonymisé autant que possible les contenants des mascaras.
Elle est analysée par une lecture des étiquettes et par des analyses en laboratoire. Nous avons ainsi relevé les substances indésirables de la liste établie par nos soins sur une base rigoureusement scientifique et les allergènes de la liste des 26 à déclaration obligatoire. Nous indiquons aussi la présence de nanoparticules dûment mentionnées sur les étiquettes mais ne portons pas de jugement car le risque pour la santé est encore trop mal cerné.
Nous avons mesuré par des techniques d’analyses spécifiques la teneur de substances non autorisées dans les mascaras telles que :
Outre la conformité de l’étiquetage au règlement qui régit les produits cosmétiques (disponibilité de la liste d’ingrédients en boutique si absence sur le produit), on juge de sa qualité selon nos propres critères : lisibilité, conseils donnés et mises en garde, protection à l’ouverture, etc.
La note environnement est basée sur le calcul de la quantité de produit restante dans le flacon à laquelle s’ajoutent 3 autres critères mais qui pèsent moins lourd dans le score : type de matériau employé (recyclé ou non), rapport contenant-contenu et suremballage.
Gaëlle Landry
Rédactrice technique
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