
Élisabeth Chesnais
Chaque produit est placé dans une chambre d’émission de 1 m3. Des cartouches absorbantes sont installées en sortie de chambre pour piéger les composés organiques volatils (COV), les aldéhydes et les phtalates présents dans l’air lors de la combustion.
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L’air passe au travers de 3 cartouches filtrantes. Une première capte les COV, une seconde les phtalates et une troisième les aldéhydes. Les deux premières catégories de polluants sont identifiées et quantifiées par chromatographie gazeuse couplée à un spectromètre de masse. Les aldéhydes, très volatils, sont dosés par chromatographie liquide haute performance couplée à un détecteur UV.
Les niveaux d’émissions sont ramenés aux teneurs qu’on obtiendrait après 2 h de combustion dans une pièce de 12 m2 et où le renouvellement de l’air serait de 0,35 h-1 (soit un air renouvelé dans une pièce en un peu moins de 3 h).
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Élisabeth Chesnais
Mélanie Marchais
Rédactrice technique
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