Vogica tout à sa hâte
Séduite par les meubles en vitrine, Mme D., d'Amiens, entre dans le magasin Vogica pour s'informer. Quatre heures après, elle en ressort avec un bon de commande signé de 8 500 euros et un acompte versé de 3 400 euros. Tout cela pour aménager une cuisine dans une maison pas encore construite. Réalisant sa légèreté, Mme D. contacte l'UFC-Que Choisir d'Amiens. À l'analyse du bon de commande, l'association locale constate que le vendeur est dans son tort puisqu'il n'a établi aucun métré faute de connaître la configuration de la cuisine. Ce simple rappel au commerçant suffira à obtenir l'annulation de la commande et la restitution de l'acompte.