Suravenir est trop pressé
Mme J., des Côtes-d’Armor, souscrit au 1er janvier 2012 un contrat pour une complémentaire santé auprès de Suravenir Assurances mais, suite à une proposition plus intéressante de son employeur, elle adresse un courrier de résiliation de son contrat initial le 6 novembre 2012, avec effet au 1er janvier 2013, date anniversaire. Fin novembre 2012, Mme J. met au monde une petite fille et demande à Suravenir Assurances de recevoir la prime de naissance de 150 € comme stipulé au contrat, étant toujours dans la période d’adhésion. Quatre mois plus tard, l’assureur répond qu’il ne peut donner une suite favorable à sa requête, la demande de résiliation ayant été faite et validée avant la déclaration de la naissance de sa fille. Mme J. contacte l’UFC- Que Choisir des Côtes-d’Armor. Dans un courrier recommandé, l’association locale rappelle à la société que l’article 1134 du code civil stipule que le contrat est la loi des parties et qu’il doit être exécuté de bonne foi. Suravenir Assurances a versé la prime de naissance.