Piscine sans protection
Pour ses vacances sur l’île de Ré, une famille du Val-de-Seine loue une villa avec piscine pour une semaine. Sur place, les parents, qui ont deux enfants en bas âge, constatent que, contrairement à ce qu’exige la législation, la piscine n’est pas protégée. Ils en réfèrent à l’agence immobilière avec laquelle ils ont signé le contrat de location. Tout comme le propriétaire de la villa, celle-ci fait la sourde oreille. Le courrier recommandé que ses clients lui enverront n’y changera rien. À son retour de vacances, le couple contacte l’UFC-Que Choisir du Val-de-Seine. Cette dernière rappelle à l’agence la réglementation en matière de sécurité des piscines privées. Message reçu, l’agence répond qu’elle a fait le nécessaire auprès du propriétaire et rembourse à la famille le montant de sa location (2 896 €).