Jean-Paul Geai
Mauvaise foi assurée
Pour acheter son logement, un couple de Charentais souscrit un emprunt immobilier en 1998 auprès de la Caisse d’épargne, assorti d’une assurance décès garantie par Generali vie assureur. En 2008, le mari décède alors que le prêt n’est pas entièrement remboursé. Son épouse veut faire jouer l’assurance mais Generali conteste les comptes rendus d’hospitalisation du défunt et refuse la prise en charge des mensualités. La veuve contacte l’UFC-Que Choisir de la Charente, qui demande des éclaircissements à l’assureur. Ce dernier finit par accepter une régularisation du dossier et l’annulation des échéances du prêt, conformément au contrat.