La Redoute cafouille
En mars 2010, Mme B., de Dijon, retourne au service après-vente de La Redoute un robot Magimix, acheté six mois plus tôt. L’appareil est en panne, mais le moteur est garanti 30 ans et les pièces 3 ans. Un mois et demi plus tard, La Redoute répond : réparation et échange impossibles, modèle épuisé. Pourtant, le même modèle figure sur le catalogue 2010-2011, au même prix, mais compte tenu d’une réduction offerte lors de l’achat, La Redoute refuse d’obtempérer. Le même mois, la cliente demande à La Redoute l’échange d’un pichet contre un abat-jour (mêmes prix, mêmes conditions). La société de VPC accepte mais réclame le montant de l’abat-jour. Mme B. soumet ses deux litiges à l’UFC-Que Choisir de Côte-d’Or. Un simple courrier plus tard, La Redoute expédie à sa cliente un robot identique et annule la réclamation sur l’abat-jour.