La mutuelle cafouille
Une confusion avec une homonyme conduit la Macif à interrompre sans avis l'assurance complémentaire santé de Mme R., des Côtes-d'Armor. Pour rectifier l'erreur, la Macif fait signer un nouveau contrat à l'assurée, ce qui implique un délai de carence des remboursements des frais médicaux. Mais la conseillère affirme que, les circonstances de l'interruption étant imputables à la mutuelle, ce délai ne s'appliquera pas. Lorsque peu de temps après Mme R. doit régler 268 euros de frais d'optique, la Macif ne lui reverse que 3,56 euros. Mme R. écrit à la mutuelle, en vain. Elle consulte l'UFC-Que Choisir de Saint-Brieuc. Un simple courrier à l'assurance la rétablira dans ses droits et lui permettra d'être remboursée.