La loi comme porte de sortie
Monsieur M. a commandé une porte d’entrée d’un montant de 3 000 € (fourniture + pose) et versé un acompte de 1 000 €. Une fois la porte installée, l’entreprise lui demande de ne pas l’ouvrir pendant deux jours. Le troisième jour, le client constate un choc sur la partie supérieure en plus d’un dysfonctionnement. Ne parvenant pas à trouver un terrain d’entente avec la société, il fait appel à l’UFC-Que Choisir de Charente-Maritime, laquelle rappelle au professionnel que les travaux doivent être fidèles au contrat mais aussi aux règles de l’art (article L. 111-20-2 du code de la construction et de l’habitation). La porte a enfin été remplacée, une fois le cadre déposé et refixé correctement.