Marie Bourdellès
La Fnac répare ses offenses
Faisant l’acquisition d’un téléphone portable à la Fnac, pour 169 €, Monsieur A. souscrit en même temps deux assurances qu’on lui propose, pour 21,98 € par mois. Trois semaines plus tard, l’appareil tombe en panne, à deux reprises. La première fois, il est remplacé. La seconde, le client reçoit un devis de 210 € de réparation, sous prétexte de traces d’humidité à l’intérieur du mobile. Il s’oppose au devis puis fait appel à l’UFC-Que Choisir d’Orléans. L’association locale lui conseille de résilier ses assurances et écrit à la Fnac. L’enseigne refuse de remettre en état le téléphone mais, après maintes relances, rembourse le client de la valeur d’achat.