L’assureur traîne
Durant plus de trente ans, un Breton a régulièrement payé les primes d’une assurance décès souscrite auprès de la Mutuelle Mieux Être. À son décès, son épouse prévient l’assurance. Pas de réponse au premier dossier envoyé conformément à la demande de l’assureur. À chaque nouveau courrier, la société réclame de nouveaux documents et multiplie les manœuvres dilatoires pour ne rien régler. La mise en demeure adressée en recommandé restant vaine, la veuve consulte l’UFC-Que Choisir de Brest. Il faudra un courrier recommandé de l’association locale, puis une mise en demeure avant procédure judiciaire pour que la Mutuelle Mieux Être règle les 9 100 € dus à la veuve. Quatorze mois pour payer, alors que le code des assurances fixe ce délai à un mois !