Jean-Paul Geai
Dépôt-ventePiano pianissimo
M. G., un habitant de Douai (59), confie en dépôt-vente un piano pour une somme de 400 euros. Quelques mois plus tard, il apprend que l'instrument a été vendu et qu'il va être payé. Deux mois plus tard, n'ayant rien perçu et ses appels téléphoniques restant vains, il envoie un courrier recommandé avec accusé de réception que le gérant du dépôt-vente ne retire même pas. Désemparé, M. G. vient prendre conseil auprès de l'UFC-Que Choisir de Douai. L'association locale met alors le commerçant indélicat en demeure de payer rapidement la somme due sous peine d'une action en justice. Miracle, quelques jours plus tard, l'adhérent informe et remercie l'association locale : le chèque de 400 euros était arrivé au courrier.