Coûteux rapatriement
En province pour un mariage, Madame B. est victime d’un AVC et admise dans l’hôpital le plus proche. Une semaine après, elle rentre chez elle, en Île-de-France, par véhicule sanitaire léger. Mais l’établissement qui l’a prise en charge n’ayant pas envoyé à temps les documents relatifs au rapatriement, la CPAM refuse de financer les 368 € afférents à ce trajet. Madame B. contacte l’UFC-Que Choisir du Val-de-Seine, qui lui conseille de consulter l’assurance souscrite auprès de sa banque. Celle-ci ne couvrant pas ce type de déplacement, l’adhérente se tourne vers son assureur, qui la rembourse au titre de son assurance en responsabilité civile et individuelle accident.